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Profession:
Actrice et femme de théâtre française.
Date et lieu de naissance:
04-07-1884, à Biarritz, Pyrénées-Atlantiques, France.
Date et lieu du décès:
17-06-1974, à la clinique Mozart à Paris, France.
Cause du décès:
D'une crise cardiaque à l'âge de 89 ans.
Nom de naissance:
Pauline Aimée Biarez.
État civil:
Célibataire - Liaison pendant plus de 50 ans avec le Poète : JEAN VIOLETTE.
Taille:
?
C'est en 1907 que Pauline Carton débute au cinéma dans des rôles de second plan dont elle devient une spécialiste.
Pauline Carton avait 67 ans de carrière.
Fille d'un ingénieur sous-directeur aux chemins de fer espagnols.
Célibataire, on lui connut qu'un seul amour : Jean Violette, un ancien journaliste qui vivait de la publication de ses poèmes.
Fit don de son corps à la Faculté de médecine.
Outre le théâtre, dans lequel elle débute, et qu'elle n'abandonne pas jusqu'à sa mort (elle possède une bibliothèque consacrée au
théâtre du XIXème siècle)
Pauline Carton a publié deux ouvrages rassemblant ses souvenirs de comédienne : les Théâtres de carton, et
Histoires de cinéma.
À 87 ans, elle enregistre son premier disque : J'ai un faible pour les forts.
Marié, il habitait Genève. Leur passion discrète dura cinquante ans, jusqu'au décès du poète.photos
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Ajout de la vidéo le 17 novembre 2008 par Philippe de CinéMémorial.
Bécassine rusée, grand-mère tendre qu'on avait toujours l'impression d'avoir vue quelque part, Pauline Carton aura connu pendant soixante-sept années de carrière plus de rôles de camériste, de servante et de gouvernante que des générations entières de comédiennes n'en compteront jamais. " Madame est sortie ", " Monsieur fait savoir à Monsieur que Monsieur peut entrer " auront été des formules tant de fois répétées par elle que, de film en film, elles seront devenues interchangeables. Situation parfois si comique que jusqu'à la fin de sa vie, elle aura dit aux inconnus venus la visiter cette autre formule :" Entrez! Je suis Pauline Carton... et pas sa bonne! " Elle n'avait pourtant pas pris à sa naissance le chemin qui conduisait à l'astiquage des cuivres. De son vrai nom PaulineAimée Biarez, elle était née le 4 juillet 1884, " dans le noir " comme elle disait elle-même. Traduisez : à" La Négresse ", le quartier de Biarritz où elle avait vu le jour. Grâce à son père, ingénieur sous-directeur aux chemins de fer espagnols, la famille Biarez évolue dans l'aisance discrète.
Ils habitent rue de la Pompe, à Paris, dans le 16e arrondissement. Entre de fréquents voyages où Pauline accompagne ses parents en Espagne, elle suit des cours, d'abord avenue Victor Hugo, puis au lycée Molière. Le théâtre, déjà, la subjugue : fascinée par les pièces qu'elle a l'occasion de voir une fois par semaine, elle se promet d'entrer plus tard au Conservatoire. En attendant, elle joue des saynètes chez elle, à la maison, en compagnie de son frère; le public est soigneusement trié sur le volet : parents, amis et petits camarades. Autant dire qu'ils lui sont tous, pour le moins, acquis...
Mais un incident dramatique va briser l'enchantement de sa jeunesse : la mort de son père et d'Auguste, le frère bien-aimé dont les dix ans d'aînesse faisaient un ami formidable, met un terme à la douceur de son enfance. Pauline et sa mère, restées seules, vont alors donner une orientation différente à leur vie.
C'est à Marseille, que Pauline va faire sa première rencontre sérieuse avec le théâtre. Un ami de sa mère l'introduit au sein d'une petite troupe ; elle jouera ainsi son premier rôle : une demoiselle de peu de vertu dans Le Ruisseau, de Pierre Wolf. Elle n'est pratiquement pas payée, les conditions de travail sont épouvantables, pour ne pas dire sordides. Mais cela lui importe peu. Elle réalise un de ses rêves les plus chers : monter sur les planches. Avec une ténacité à l'épreuve des ennuis, que lui procure sa nouvelle existence, elle va s'agripper à son métier, et ne plus jamais le lâcher. Le budget des représentations est aussi mince qu'une feuille de papier à cigarettes. En voulant économiser sur la distribution, le régisseur va la faire apparaître à deux reprises dans deux rôles différents. Les spectateurs myopes se sont-ils laissés berner ?
L'affiche du spectacle, annoncera Mlle Pauline et Mlle Carton. Et ces deux noms lui resteront. La vie de comédienne qu'elle va alors mener n'aura rien à envier à celle des troupes ambulantes du XVII° siècle. Les tournées prennent un caractère héroïque, et l'on se demande comment le rideau peut encore se lever sur des acteurs qui ne soient pas réduits à l'état de squelettes. C'est là que Pauline fait connaissance avec ceux dont l'ambition n'a pas été un principe, les " petits ", avec qui elle se sent des attaches profondes. En partageant leur sort, elle découvre la richesse des humbles, leurs travers aussi. Et si ses interprétations d'hôtelière, de lavandière, de rentière ne manqueront jamais de justesse, ce sera sans doute à ces années-là qu'elle le devra. Même un demi-siècle plus tard, après avoir traversé tous les offices de la pellicule française, elle continuera à jouer au théâtre. Vaudevilles, mélodrames, opérettes, cabaret, tout sera bon pour partager l'existence de ceux pour qui la scène est une raison de vivre. On la verra encore, à plus de quatre-vingts ans, interpréter des spectacles chantants jusqu'à deux heures du matin...
C'est vers 1907 elle ne se souvient plus elle-même de l'année exacte que Pauline Carton débute au cinéma. Il s'agit, bien sûr, de cinéma muet, ce qui ne l'enthousiasme pas outre mesure. Elle aime en fait les petits rôles qui épanchent sa langue " bien pendue ". Il faudra attendre 1921, avec Le Père Goriot, de Jacques de Baroncelli, puis Château historique, en 1923, d'Henri Desfontaines, pour la voir véritablement à l'écran. Incroyable phénomène de la courte apparition, elle va tenir autant d'emplois différents devant la caméra, qu'elle en avait eus sous les feux de la rampe. Elle sera tour à tour femme de chambre, bien évidemment, mais aussi " dame-pipi ", vieille fille ronchonne, commère bavarde, religieuse, marquise, mais oui!, générale ou... esclave malaise, comme dans L'Amant de Bornéo, de Jean-Pierre Feydeau, en 1942. Elle accrochera aux cimaises de sa mémoire, les portraits des plus géniaux réalisateurs de son époque : Jean Cocteau, avec Le Sang d'un poète, en 1930, Pabst, avec Du haut en bas, en 1933, Abel Gance, avec Le Roman d'un jeune homme pauvre, en 1936, et Louise, en 1938, ou Max Ophüls, avec Sans lendemain qui, tourné à la veille de la guerre, porte bien son titre...
Si son élocution, quasi parfaite malgré une voix qu'elle qualifie de crécelle, la sert, son physique fait d'elle une personnalité marquante. Son nez " en patate ", ses oreilles fuyant vers le haut, les deux grandes rides qui flanquent ses joues, la font rire continûment d'elle-même. Loin de s'en formaliser, elle use de ses imperfections, leur imprimant un ton parfois comique, parfois pathétique. Pour couronner le tout, elle déteste s'habiller. Pauline se produit sur scène chaussée de croquenots de curé, et sur l'écran, dans la mise proprette, mais inesthétique des femmes qu'elle représente. Elle doit sa seule robe élégante à la préfète qu'elle incarne dans Le Mot de Cambronne, réalisé en 1937, par Sacha Guitry.
Sacha Guitry... Pauline raconte qu'il l'a engagée de la façon suivante : un jour qu'il allait dîner chez la vedette d'un de ses films, il s'interroge sur l'actrice à qui attribuer la part modeste de la distribution. La bonne qui les sert l'interrompt alors: " Si monsieur me permet, je lui conseille Pauline Carton, celle qui m'a fait tant rire la semaine dernière... " Désormais, liée à lui par une fidélité qui n'a d'égale que celle, proverbiale, des serviteurs qu'elle jouera, elle fera partie pendant plus de quinze ans de sa troupe. Elle sera, avec son alter ego domestique, Jeanne Fusier-Gir, la confidente de Guitry, à la ville comme aux plateaux... de cinéma.
La passion du travail dont fait montre Pauline conforte Guitry dans sa propre ardeur. Ce métier, dont elle fait preuve dans les rôles pourtant ingrats qu'il lui confie, le stupéfie. Il va jusqu'à lui permettre de souffler aux autres acteurs les réparties où elle n'a pas sa place. Il la qualifie, selon ses propres termes, d' " instinctive, rageuse, véridique, courageuse, traqueuse... Étonnante !". Mais le plus bel hommage qu'il lui rend n'est-il pas condensé dans la première scène de La Vie d'un honnête homme, en 1952, quand après avoir demandé à Michel Simon s'il voulait bien interpréter son rôle, il réitère sa question à Pauline ? Ce a quoi elle répond, modeste tenancière d'un hôtel : " Aurez-vous besoin d'autre chose ?" Et Sacha. " Non. Ou plutôt oui : j'aurai besoin de votre talent. " Car c'est vrai que Pauline Carton n'est qu'une " utilité ", c'est-à-dire, un personnage effacé dont on ne peut pas, curieusement, se passer. Mais, sans être au premier plan, plutôt que d'être un luxe, elle tisse autour du drame ou de la comédie un réseau de détails qui font " vrai ". Il n'est pas étonnant qu'un amoureux du trait juste comme Sacha Guitry s'y soit attaché. Imagine-t-on un aristocrate sans servante ? Maxim's sans lavabo, et sans quelqu'un pour les tenir, comme celle-là qu'elle interprète en 1953, aux côtés d'Yves Deniaux, dans Le Chasseur de chez Maxim's, d'Henri Diamant-Berger ? C'est elle qui va tracer, à l'aide de quelques mots, d'une prestation fugitive, le caractère de ses employeurs. A elle de situer dans l'esprit du spectateur, les protagonistes de l'intrigue, d'avoir sa part d'histoire à vivre, comme dans Le Jour le plus long, que réalise en 1961 Ken Annakin... Il lui faut être sans cesse assez en retrait, et assez actrice cependant, pour tomber dans le ton que réclament ses interprétations. Et elle y arrive.
Sa vie intime reste fermée au public des salles obscures. Ce qu'elle consent à laisser passer, elle le filtre par sa plume. II lui faut toute sa verve pour parler d'elle-même, comme le prouvent Les Théâtres de Carton, Histoires de cinéma, qui retracent ses souvenirs d'actrice. Une chose est sûre : elle ne permet pas facilement à la vieillesse de prendre le pas sur son esprit, à défaut de son corps. Peut-être tient-elle là le secret de son humour, de sa pétulance : une verdeur qui se rend compte des atteintes de l'âge et les tourne en dérision. Ainsi, pendant les quarante dernières années de sa vie, elle n'habitera ni dans une maison, ni dans un château, non, mais à l'hôtel. Elle avait en effet élu domicile au Saint-James et d'Albany, rue de Rivoli, en face du jardin des Tuileries où elle allait faire fréquemment de longues promenades... Nul doute que Pauline Carton, si elle n'était pas morte à la veille de son quatre-vingt-dixième anniversaire, eût continué à jouer jusqu'à son centenaire. Les planches, dont elle avait goûté à Marseille, n'avaient jamais cessé de la tenter. Elle ne s'était pas retirée du métier avec la honte d'un certain âge. Son âge, à elle, lui servait, lui ouvrant d'autres possibilités, d'autres rôles, d'autres contacts humains, surtout, dont elle n'avait pas oublié la saveur.
156 LONGS MÉTRAGES DÉTAILLÉS
1970 - CLODO
1963 - HUMOUR NOIR
1961 - JOUR LE PLUS LONG .LE
1961 - FILLE DU TORRENT .LA
1960 - MORT N'EST PAS À VENDRE .LA
1960 - INTERPOL CONTRE X
1959 - VOUS N'AVEZ RIEN À DÉCLARER
1959 - MESSIEURS LES RONDS DE CUIR
1959 - BUSINESS
1958 - GAITÉS DE L'ESCADRILLE .LES
1958 - EN BORDÉE
1958 - BRIGADE DES MOEURS
1958 - À PIED, À CHEVAL ET EN SPOUTNIK
1957 - VIE À DEUX .LA
1957 - TROIS FONT LA PAIRE .LES
1957 - COIN TRANQUILLE .LE
1956 - MON CURÉ CHEZ LES PAUVRES
1956 - CAROTTES SONT CUITES .LES
1956 - CHANTEUR DE MEXICO .LE
1956 - FRIC-FRAC EN DENTELLES
1956 - ASSASSINS ET VOLEURS
1956 - AH ! QUELLE ÉQUIPE
1956 - CES SACRÉES VACANCES
1955 - ZAZA
1955 - SI PARIS NOUS ÉTAIT CONTÉ
1955 - RENCONTRE À PARIS
1955 - ON DÉMÉNAGE LE COLONEL
1955 - INSOUMISES .LES
1954 - PAS DE SOURIS DANS LE BIZNESS
1954 - NAPOLÉON
1954 - FRUITS DE L'ÉTÉ .LES
1954 - DEUX FONT LA PAIRE .LES
1953 - SI VERSAILLES M'ÉTAIT CONTÉ
1953 - CHASSEUR DE CHEZ MAXIM'S .LE
1953 - CARNAVAL
1952 - SOYEZ LES BIENVENUS
1952 - MONSIEUR TAXI
1952 - VIE D'UN HONNÊTE HOMME .LA
1952 - POCHARDE .LA
1952 - FILLE AU FOUET .LA
1952 - JE L'AI ÉTÉ TROIS FOIS
1952 - VRAI COUPABLE .LE
1951 - MA FEMME EST FORMIDABLE
1951 - POISON .LA
1951 - DESCENDEZ, ON VOUS DEMANDE
1951 - AU FIL DES ONDES
1950 - TAMPON DU CAPISTON .LE
1950 - MINNE, L'INGÉNUE LIBERTINE
1950 - ROSIER DE MADAME HUSSON .LE
1950 - COEUR-SUR-MER
1950 - MIQUETTE ET SA MÈRE
1949 - TÊTE BLONDE
1949 - RONDE DE NUIT
1949 - MENACE DE MORT
1949 - TRÉSOR DE CANTENAC .LE
1949 - 84 PREND DES VACANCES .LE
1949 - JE N'AIME QUE TOI
1949 - BRANQUIGNOL
1949 - AUX DEUX COLOMBES
1949 - AMÉDÉE
1948 - MARLÈNE
1948 - OMBRE .L'
1948 - DIABLE BOITEUX .LE
1948 - ARMOIRE VOLANTE .L'
1948 - BARRY
1948 - BLANC COMME NEIGE
1947 - TIERCE À COEUR
1947 - AMANTS DU PONT SAINT-JEAN .LES
1947 - COMÉDIEN .LE
1943 - MARIE-LOUISE
1942 - AMANT DE BORNÉO .L'
1942 - MANOUCHE
1942 - BELLE AVENTURE .LA
1941 - SIX PETITES FILLES EN BLANC
1941 - PRIÈRE AUX ÉTOILES .LA
1941 - NEIGE SUR LES PAS .LA
1941 - TROISIÈME DALLE .LA
1939 - VOUS SEULE QUE J'AIME
1939 - SUR LE PLANCHER DES VACHES
1939 - SANS LENDEMAIN
1939 - NARCISSE
1939 - MA TANTE DICTATEUR
1939 - ÉTRANGE NUIT DE NOËL .L'
1939 - MONDE TREMBLERA .LE
1939 - LOUISE
1939 - ILS ÉTAIENT NEUF CÉLIBATAIRES
1938 - FICHU MÉTIER .UN
1938 - MARRAINE DU RÉGIMENT .LA
1938 - REMONTONS LES CHAMPS-ÉLYSÉES
1938 - MON ONCLE ET MON CURÉ
1938 - GAIETÉS DE L'EXPOSITION .LES
1938 - COEUR ÉBLOUI .LE
1938 - PRÉSIDENTE .LA
1938 - BELLE REVANCHE .LA
1938 - CONFLIT
1938 - PAIX SUR LE RHIN
1937 - QUADRILLE
1937 - NUITS DE PRINCES
1937 - MONSIEUR BRELOQUE A DISPARU
1937 - MON DÉPUTÉ ET SA FEMME
1937 - PERLES DE LA COURONNE .LES
1937 - PLUS BEAU GOSSE DE FRANCE .LE
1937 - FILLE DE LA MADELON .LA
1937 - CITADELLE DU SILENCE .LA
1937 - BELLE DE MONTPARNASSE .LA
1937 - GRIBOUILLE
1937 - GARDONS NOTRE SOURIRE
1937 - DÉSIRÉ
1937 - BOISSIÈRE
1937 - À VENISE, UNE NUIT
1937 - DÉGOURDIS DE LA 11ÈME .LES
1936 - VOUS N'AVEZ RIEN À DÉCLARER ?
1936 - TOI, C'EST MOI
1936 - OEIL DE LYNX, DÉTECTIVE
1936 - MON PÈRE AVAIT RAISON
1936 - ROMAN D'UN TRICHEUR .LE
1936 - MIOCHE .LE
1936 - MAISON D'EN FACE .LA
1936 - COURRIER SUD
1936 - NOUVEAU TESTAMENT .LE
1935 - NUIT DE NOCES .UNE
1936 - TARASS BOULBA
1935 - TRAIN DE PLAISIR
1935 - MADEMOISELLE MOZART
1935 - ROMAN D'UN JEUNE HOMME PAUVRE .LE
1935 - FERDINAND LE NOCEUR
1935 - BONNE CHANCE
1934 - NOUS NE SOMMES PLUS DES ENFANTS
1934 - HOMMES DE LA CÔTE .LES
1934 - ÉCOLE DES COCOTTES .L'
1934 - PETIT JACQUES .LE
1934 - ITTO
1934 - ANGES NOIRS .LES
1933 - MISÉRABLES .LES
1933 - MIQUETTE ET SA MÈRE
1933 - ABBÉ CONSTANTIN .L'
1933 - DU HAUT EN BAS
1933 - CES MESSIEURS DE LA SANTÉ
1933 - ÂME DE CLOWN
1932 - SUZANNE
1932 - MON CURÉ CHEZ LES RICHES
1932 - CE COCHON DE MORIN
1931 - SUR LA VOIE DU BONHEUR
1931 - AMOUR À L'AMÉRICAINE .L'
1931 - FAUBOURG MONTMARTRE
1931 - CRIMINEL
1930 - CENDRILLON DE PARIS
1930 - MON GOSSE DE PÈRE
1930 - BLANC ET LE NOIR .LE
1929 - ARPÈTE .L'
1929 - MISS ÉDITH, DUCHESSE
1927 - RONDE INFERNALE .LA
1927 - YVETTE
1927 - ÉDUCATION DE PRINCE
1927 - PETITE FONCTIONNAIRE .LA
1926 - P'TIT PARIGOT .LE
1925 - FEU MATHIAS PASCAL
1925 - BOSSU OU LE PETIT PARISIEN .LE
1923 - CHÂTEAU HISTORIQUE
1922 - FEMME DE NULLE PART .LA
1921 - PÈRE GORIOT .LE
1921 - BLANCHETTE
1921 - FROMONT JEUNE ET RISLER AÎNÉ
4 PARTICIPATIONS POUR LA TÉLÉVISION
1967 - SEPT DE L'ESCALIER QUINZE B .LES
1967 - HOMME AUX CHEVEUX GRIS .L'
1959 - MARIS DE LÉONTINE .LES
Téléfilm d'André Leroux
27 COURTS MÉTRAGES:
1960 - ART CULINAIRE À TRAVERS LES ÂGES .L'
Court métrage de Jean-Marie Isnard
1955 - VOTRE BEAUTÉ, MESDAMES
1952 - FRÈRES INFÉRIEURS
1952 - BON POUR LE SERVICE
1950 - EN SUIVANT LE MÊME CHEMIN
1949 - À QUI LE BÉBÉ ?
1949 - TRENTE-TROISIÈME CHAMBRE
1948 - BONJOUR LE MONDE
1948 - JURÉ BAVARD .UN
1943 - FAMILLE DURAMBOIS AU COMPTOIR SUISSE .LA
1939 - MOBILISATION 39
1937 - NE TUEZ PAS DOLLY
1937 - MOT DE CAMBRONNE .LE
1936 - CAUCHEMAR DE MR. BÉRIGNON .LE
1936 - IRMA LUCINDE, VOYANTE
1936 - À LOUER MEUBLÉE
1935 - FAUT PAS L'CONTRARIER
1934 - PIANO À VENDRE
1934 - DÎNER DE GALA DES AMBASSADEURS
1933 - MISSION SECRÈTE
1933 - DEUX PICON-GRENADINE
1932 - SEUL
1932 - BOUTON D'OR
1930 - SANG D'UN POÈTE .LE
1924 - ÉTRENNES À TRAVERS LES ÂGES .LES
1915 - FILLE DU BOCHE .LA
1912 - PETITE FONCTIONNAIRE .LA
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27-07-2009 16:31:53
17-10-2009 11:28:41
24-06-2011 11:12:56
08-09-2011 16:56:30