JOAN CRAWFORD

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Profession:
Actrice et productrice américaine.

Date et lieu de naissance:
23-03-1904, à San Antonio au Texas aux États-Unis.

Date et lieu du décès:
10-05-1977, à Manhattan à New York aux États-Unis.

Cause du décès:
D'une crise cardiaque, elle souffrait déjà d'un cancer du pancréas. Décédée à l'âge de 73 ans.

Nom de naissance:
Lucille Fay Le Sueur - À ses débuts : Billie Cassin.

État civil:
Mariée en 1923 avec : JAMES WELTON - divorcée en 1924.

Mariée en 1929 avec l'acteur : DOUGLAS FAIRBANKS Jr. - divorcée en 1933.

Mariée en 1935 avec l'acteur : FRANCHOT TONE - divorcée en 1939)
Ils eurent un enfant.

Mariée en 1942 avecl'acteur : PHILLIP TERRY - divorcée en 1946.
Ils eurent un enfant.

Mariée en 1955 avec le PDG de Pepsi : ALFRED N. STEELE - jusqu'en 1959.

Enfants adoptifs : (Soeurs jumelles, Kathy, Cindy), Christina et Christopher.

Taille:
(5’5’’ = 1m65)

Commentaires: 5

Anecdotes

Orientation sexuel : Bisexuelle.

Liaisons probable : Dorothy Arzner, Jean-Pierre Aumont, Yul Brynner, Steve Cochran, Jackie Cooper, Kirk Douglas, Henry Fonda, Glenn Ford, Clark Gable, John Garfield, Jackie Gleason, Cary Grant, Rock Hudson, John F. Kennedy, Joseph Mankiewicz, Marilyn Monroe, Tony Martin, Tyrone Power, Robert Preston, Martha Raye, Barbara Stanwyck, Franchot Tone, Spencer Tracy, John Wayne, Johnny Weissmuller.

Elle a déshérité deux de ses quatre enfants adoptifs (Christina et Christopher).
A décidé d'adopter des enfants car les médecins lui on dit qu'elle était stérile.
Soeur de l'acteur, Hal Le Sueur (1903 - 1963)
A bu excessivement et a fumé jusqu'elle a commencé à pratiquer la Science Chrétienne, et elle a abruptement stoppé les deux.

photos

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Biographie

Hommage à JOAN CRAWFORD

Mise à jour le 11 octobre 2008 par Philippe de CinéMémorial.

La première star fabriquée à cent pour cent par Hollywood, rêve des jeunes Américaines des années 30, est morte recluse.
Elle a déshérité deux de ses quatre enfants adoptifs.

Et puis tomba le crépuscule. Le crépuscule d'une star, trou noir filant. Le 28 octobre 1976, quand Joan Crawford appose une dernière signature sur son testament, les ténèbres enveloppent déjà celle dont Louis B. Mayer a dit qu'elle fut la première " création " de la MGM, la première star de Hollywood entièrement fabriquée au goût américain. " La petite pécore texane avait 17 ans. 1925… Le cinéma était encore muet, pour deux ans, jusqu'au "Chanteur de jazz" ", doit se souvenir la vieille dame, noyée dans l'ombre fléchissante de sa gloire passée. Elle sait qu'elle va mourir bientôt. Elle perd du poids, souffre du dos, pressent un cancer mais ne veut pas savoir, ne jamais savoir, elle qui a toujours vécu sous les spots du tout divin cinéma. Ce testament est son dernier acte, son scénario d'outre-tombe. Joan Crawford, née Lucille Le Sueur, règle les comptes de sa vie.

La signature en dit long sur son caractère égocentrique de mante religieuse : les lettres ampoulées se gonflent dans tous les sens et se convulsent. Article 2 : la Crawford a froidement déshérité deux de ses quatre enfants adoptifs. Pas un dollar. " C'est mon intention de ne faire aucune provision ici pour mon fils Christopher ou ma fille Christina, "for reasons which are well known to them". " Christopher et Christina comprendront, en effet. Raisons, déraison ? " La Sorcière ", " The Bitch " comme ils l'appellent, les a martyrisés depuis leur tendre enfance. Celle qui fut la Cendrillon de l'American dream des années 30 les a obligés à trimer des nuits entières pour briquer la maison. Elle a relégué Tina, considérée comme une rivale, dans une école-couvent et, pendant des années, n'a plus communiqué avec elle que par de brèves notes sur papier à en-tête.

Ses dernières volontés désignent comme seuls héritiers ses deux autres enfants, Cathy et Cynthia. Les mensualités s'étaleront sur trente ans, et leur montant dépendra de leur âge au décès de leur mère : si elles ont 30 ans, elles toucheront 5 000 dollars par mois, si elles en ont 45, le pactole grimpe à 45 000 dollars, et leurs enfants recevront 5 000 dollars quand ils auront 21 ans. Autant dire que Cathy et Cynthia n'ont pas intérêt à ce que maman passe la rampe trop vite ! La Crawford est plus généreuse avec ses employés et amis : ils ont droit à des sommes allant jusqu'à 35 000 dollars. Sa bonne à tout faire, Bernice Oshatz, une ancienne groupie, touchera 5 000 dollars. Le reste de sa fortune va à des fondations, la Muscular Dystrophy Association of America, la Motion Picture Country Home Hospital, la Wiltwyck School for Boys. Les affaires personnelles sont confiées à l'aînée, Cathy, la préférée. Celle-ci n'attendra pas longtemps pour les vendre aux enchères. Toc et strass, pathétique : une centaine de perruques, 300 bijoux de scène et quelques vrais, 200 paires de chaussures, des jeux de cartes et 85 paires de faux cils - autant de regards.

Suprême dérision, Christina s'est quand même vu attribuer un souvenir : un vilain buste en plastique de sa mère, datant de 1941, où il était gravé " To Christina ". " C'était une insulte. Une fois de plus, elle a cherché depuis sa tombe à me gifler pour démontrer qu'elle était toujours maîtresse de la situation ", commentera la légataire. La mauvaise mère a bien calculé sa gifle. Six mois plus tard, dans le même appartement, 69e Rue, East Manhattan, où elle a rédigé son testament, son cœur l'a plaquée. Ce matin-là, Madame a réclamé son petit déjeuner, thé et crackers. Son shihtzu, horrible petite boule de poils, n'est pas là : elle l'a confié à des amis. La domestique a posé le plateau sur la table de chevet. La maîtresse ne bouge pas. Il est 10 heures du matin, ce mardi 10 mai 1977.
Cela faisait trois ans que la cinglée vivait en recluse. Depuis qu'on l'avait prise en photo alors qu'elle sortait d'une party. L'ancienne idole avait sifflé pas mal de vodkas, sa perruque était de travers, son maquillage avait coulé. Joan s'est alors juré de ne plus jamais se montrer en public. Nul n'assistera au déclin de la déesse du " Roman de Mildred Pierce " (oscar 1945), de " Qu'est-il arrivé à Baby Jane ? ", de " Johnny Guitare ". La reine des rêves de la Middle America a consumé son destin : la gloire, la vie facile, l'argent claqué, le sexe, les amours lesbiennes, la vodka. Et quand le rideau est retombé, elle s'est mise à nettoyer chaque centimètre carré de sa dernière scène, l'appartement où elle s'était cloîtrée, une obsession. On a retrouvé dans son cabinet de toilette 200 bouteilles de produits nettoyants.

Son seul lien direct avec l'extérieur, c'est le téléphone. Suis-je encore belle, adulée ? Il y a aussi la télé. Et son courrier. Parfois, elle s'y met dès 5 heures du matin. Elle écrit à des vedettes de séries télévisées, à de rares amis et à ses fans, ses innombrables fans. Beaucoup de ses admirateurs sont des vendeurs de Pepsi Cola. Pourquoi ? En 1955, elle a épousé le PDG de Pepsi, Alfred N. Steele, son quatrième mari. Les créanciers la traquaient. Par la suite, elle traitera son mari comme un chien. Le puissant patron succombera quatre ans plus tard à une crise cardiaque, la veuve raflera l'héritage et s'installera au board of directors de la multinationale. Une sacrée planque qui rapporte de jolis jetons de présence ! Pendant quinze ans, la veuve s'est cramponnée à son fauteuil. Les membres du board ont dû attendre qu'elle ait 65 ans, l'âge de la retraite. Ouf ! Enfin débarrassés. Mille cinq cents personnes ont assisté à la messe en sa mémoire à l'Église unitarienne de Toutes les Ames, à New York. Le révérend Kring a lu un des textes favoris de la défunte, " Desiderata ", de Max Ehrman. Pearl Bailey a chanté " Il comprendra ". Le Dieu de Moïse et de Cecil B. De Mille, c'est vrai, peut comprendre Hollywood, cette Cité des Anges du cinéma qui a tant chanté la gloire de l'Eternel et des États-Unis. Il pardonnera à Joan ses excès. Car que serait Dieu sans l'Amérique et que serait l'Amérique sans excès, sans Hollywood, sans ses stars, sans celle qui, en 1928, après avoir triomphé dans " Our Dancing Daughters ", fut sacrée par la presse " First queen of the movies " ? La MGM n'avait-elle pas pris pour slogan en 1926 : " More stars then there are in heaven ! " Il reste maintenant à rendre à Dieu la créature que Hollywood a créée.

1925. Lucille vient d'arriver à Los Angeles. La superbe plante a germé à San Antonio, Texas, le 23 mars 1908. Le père, un bouseux d'origine franco-canadienne, a plaqué la mère vite fait. L'enfance de " Billie " (pour ses amis) a été chahutée, entre une maman dominatrice et brutale, un frère tyrannique, les déménagements incessants, les hôtels de fortune. A 11 ans, la Cosette américaine marne dans la cantine d'une école privée pour payer sa pension. Puis elle devient vendeuse, serveuse de bistrot, des petits jobs de rien du tout. La vie n'est pas tendre au pays des gros ploucs texans, tous des cons machos racistes, je te pince les fesses, ma jolie, tire-toi de là ma fille, le scénario est connu. Lucille s'est barrée vers le rêve, la Californie, là où l'on dit que ça se passe, si on ne fait pas son effarouchée, à Los Angeles. Arrivée donc en 1925, elle fait un peu de figuration et ne manque pas un déjeuner dansant au Montmartre Café, 6757 Hollywood Boulevard, le premier night-club de Hollywood. Valentino y danse avec Pola Negri, Charlie Chaplin bisse Marion Davies (dont le magnat William Randolph Hearst est fou amoureux), et Lucille cherche producteur. La MGM décide de la recruter, à 75 dollars par semaine.

Elle a 17 ans, elle est belle et vicieuse. Les archives de la MGM ont conservé les traces de la naissance in vitro de Joan. Hallucinant. D'abord, les tests des psychologues des studios. Ils concluent que la jeune Lucille est une personne bien structurée et pleine de vitalité. Parfait. Ensuite, les gens du marketing ont défini le produit, portrait de la star qu'attend le grand public américain. La future idole doit être une Américaine type, pas une étrangère comme l'exotique Greta Garbo ni une upper class comme l'aristocratique Norma Shearer, les deux vedettes de la MGM. L'American dream : tout est possible, la bergère épousera le prince, le berger sera PDG… Le nom Le Sueur ne convient pas : un concours est lancé. Une Mrs. Louise Artisdale, de Rochester, propose Joan Crawford. Banco. Elle gagne le premier prix, un chèque de 500 dollars sur la Pacific Southwest Trust & Savings Bank. Le chèque est daté du 23 septembre 1925.

Ce sens du marketing est historique. Depuis leur origine, les États-Unis ont toujours été une invention, une série de fiction en même temps qu'un reality-show, où la question historique de l'identité s'est toujours posée en termes de fantasmes individuels, d'identification. Le cinéma a manufacturé l'Amérique avec le Coca-Cola et le hamburger. Aux archives de l'Academy of Motion Pictures, La Cienega, entre Wilshire et Olympics, on peut trouver une lettre, tapée à la machine d'une méchante encre bleue, dans laquelle le secretary of Interior prie M. Zukor de lui organiser une rencontre avec un groupe de " proeminent men of the motion picture industry " afin de discuter du sujet suivant : comment américaniser les Américains par le moyen du cinéma ? La lettre est datée du 10 décembre 1919.

Les esthéticiennes des studios de Culver City (à l'ouest de Los Angeles) se sont alors mises au boulot. On arque les sourcils, accentue les pommettes, humecte et rougit les lèvres, refait les dents, cache les hanches, allonge la taille. Puis le costumier Adrian, tailleur de stars, entre en scène et crée le look Crawford : glamour popu, sexy sans trop, un rien de sauvagerie, le genre de fille dont on dit que c'est un diamant un peu brut. La pub pour le film " Untamed " la décrit comme " juste une petite fleur de la jungle qui devient plus sauvage à chaque minute ". Joan Crawford is born. Joan appartient à la rue et à la Metro.

Le start-up Crawford a été un succès complet. Les jeunes filles ont imité sa démarche, sa voix, son maquillage, porté les mêmes vêtements... En plus, la nouvelle étoile de la firme au lion qui rugit, pas folle la guêpe, a jeté son dévolu sur Douglas Fairbanks Jr. Louis B. Mayer, le nabab en personne, a réglé le mariage, en 1929, comme une superproduction : les flashs, la table, le menu (il y a veillé), le gâteau... Le boss souhaite bonne chance à ses deux jeunes poulains. En touche finale, la MGM a réuni les jeunes époux dans un film mièvre à souhait, " Our Modern Maidens ", dernier film muet de Joan qui raconte la romance d'une jolie serveuse de rien du tout qui rencontre l'homme de sa vie. Un hit. En réalité, la tendre épouse n'a rien d'une fleur bleue. Et elle n'aime pas vraiment les hommes, elle les utilise. Elle a choisi Douglas Fairbanks Jr. parce qu'il est le fils de Zorro et de Robin des bois, idole du cinéma muet, Douglas Fairbanks, et le beau-fils de Mary Pickford, productrice qui fait la pluie et le beau temps à Hollywood. Joan Crawford joue dans la cour des grands. Elle tourne huit films coup sur coup avec Clark Gable ; au deuxième, elle se le fait. Elle serait même assez accro au beau mâle, et une des rares à croire que ce péquenaud, ancien machiniste d'Oklahoma et réparateur de téléphones, a de l'avenir. " Il a des couilles ", décrète-t-elle. Louis B. Mayer est furieux. Le public américain, prude, risque d'être choqué. On lui a vendu Cendrillon, pas la reine Margot. Le tycoon sermonne les amants : la rupture ou la porte. OK patron ! Clark et Joan reprennent leurs marques.

" I direct that my remains be cremated ", précise le dernier article du testament, point final. Près d'un demi-siècle plus tard, les stars qui, mêlées aux vieux fans, ont assisté à la crémation, ont un goût de cendres, métaphoriques. La légendaire Joan Crawford, après avoir joué avec le feu, finit dans les flammes. Poussière elle redevient, le 13 mai 1977. Christina et Michael ont aussitôt contesté la succession ; leur mère n'avait plus toute sa raison, elle était paranoïaque… Le tribunal de New York, pas convaincu de la folie de la testatrice, leur a accordé une rallonge de 55 000 dollars, des clopinettes, pas même de quoi couvrir les frais d'avocat. Heureusement pour Christina, " Mommie Dearest " a été un best-seller qui s'est vendu à 3 millions d'exemplaires. Belle revanche posthume, n'est-ce pas, très chère maman...

Source : Philippe Gavi du Nouvel Obs.

 

SES RÉCOMPENSES :

 

1970 - Prix Cecil B. DeMille, Golden Globes, États-Unis.
1946 - Prix Pomme d'Or de l'actrice la plus coopérative aux Golden Apple Awards, États-Unis.

1945 - Prix Pomme d'Or de l'actrice la plus coopérative aux Golden Apple Awards, États-Unis.

1945 - Pour : LE ROMAN DE MILDRED PIERCE - Oscar de la meilleure actrice, Academy Awards, États-Unis.

1945 - Pour : LE ROMAN DE MILDRED PIERCE - Prix NBR de la meilleure actrice, National Board of Review, États-Unis.

1945 - Pour : LE ROMAN DE MILDRED PIERCE - Oscar de la meilleure actrice, États-Unis.

 

Filmographie

 

91 LONGS MÉTRAGES DÉTAILLÉS
_________________________________

 

1970 - ABOMINABLE HOMME DES CAVERNES .L'

 

1967 - TUEURS AU KARATÉ

 

1967 - CERCLE DE SANG .LE

 

1965 - TUER N'EST PAS JOUER

 

1964 - DELLA

 

1964 - MEURTRIÈRE DIABOLIQUE .LA

 

1963 - CAGE AUX FEMMES .LA

 

1962 - QU'EST-IL ARRIVÉ À BABY JANE

 

1959 - RIEN N'EST TROP BEAU

 

1957 - SCANDALE COSTELLO .LE

 

1956 - FEUILLES D'AUTOMNE

 

1955 - FEMME DIABOLIQUE .UNE

 

1955 - MAISON SUR LA PLAGE .LA

 

1954 - JOHNNY GUITARE

 

1953 - MADONE GITANE .LA

 

1952 - MASQUE ARRACHÉ .LE

 

1952 - REINE DU HOLD-UP .LA

 

1951 - FLAMME DU PASSÉ .LA

 

1950 - PERFIDE .LA

 

1950 - ESCLAVE DU GANG .L'

 

1949 - BOULEVARD DES PASSIONS

 

1948 - TRAVAILLEURS DU CHAPEAU .LES

 

1947 - FEMME OU MAÎTRESSE

 

1947 - POSSÉDÉE .LA

 

1946 - HUMORESQUE

 

1945 - ROMAN DE MILDRED PIERCE .LE

 

1944 - HOLLYWOOD CANTEEN

 

1943 - ESPION A DISPARU .UN

 

1943 - QUELQUE PART EN FRANCE

 

1942 - EMBRASSONS LA MARIÉE

 

1941 - DUEL DE FEMMES

 

1941 - IL ÉTAIT UNE FOIS

 

1940 - SUZANNE ET SES IDÉES

 

1940 - CARGO MAUDIT .LE

 

1939 - FEMMES

 

1939 - FÉERIE DE LA GLACE .LA

 

1938 - ENSORCELEUSE .L'

 

1937 - MANNEQUIN

 

1937 - INCONNUE DU PALACE .L'

 

1937 - FIN DE MADAME CHEYNEY .LA

 

1936 - LOUFOQUE ET COMPAGNIE

 

1936 - ENCHANTERESSE .L'

 

1935 - VIVRE SA VIE

 

1935 - FEMME DE SA VIE .LA

 

1934 - PASSAGÈRE .LA

 

1934 - VIVRE ET AIMER

 

1934 - SOUVENT FEMME VARIE

 

1933 - TOURBILLON DE LA DANSE .LE

 

1933 - APRÈS NOUS LE DÉLUGE

 

1932 - PLUIE

 

1932 - GRAND HÔTEL

 

1932 - CAPTIVE

 

1931 - FASCINATION

 

1931 - THIS MODERN AGE

 

1931 - PÉCHERESSE .LA

 

1931 - WIR SCHALTEN UM AUF HOLLYWOOD

 

1931 - PENTE .LA

 

1930 - IL FAUT PAYER !

 

1930 - GREAT DAY

 

1930 - COEURS IMPATIENTS

 

1930 - MONTANA MOON

 

1929 - INDOMPTÉE

 

1929 - TOURNÉE DU GRAND DUKE .LA

 

1929 - ARDENTE JEUNESSE

 

1929 - COEUR DE TZIGANE

 

1928 - NOUVELLES VIERGES .LES

 

1928 - PRISON DU COEUR .LA

 

1928 - SOIR À SINGAPOUR .UN

 

1927 - MAUVAISE ROUTE .LA

 

1927 - IRRÉSISTIBLE .L'

 

1927 - TEMPS DES CERISES .LE

 

1927 - BATEAU IVRE .LE

 

1927 - INCONNU .L'

 

1927 - UNDERSTANDING HEART .THE

 

1927 - ROSE MARIE

 

1927 - TAXI DANCER .THE

 

1927 - DERNIER REFUGE .LE

 

1926 - PARIS

 

1926 - SPORTIF D'OCCASION

 

1925 - CIRCLE .THE

 

1925 - POUPÉES DE THÉÂTRE

 

1925 - BALOURD .LE

 

1925 - FEMME SANS MARI .UNE

 

1925 - VIEUX HABITS, VIEUX AMIS

 

1925 - APPÂT DE L'OR .L'

 

1925 - FEUX DE LA RAMPE .LES

 

1925 - BEN HUR

 

1925 - FRATERNITÉ

 

1925 - CADETS DE LA MER .LES

 

1923 - DAME DE LA NUIT .LA

 

4 COURTS MÉTRAGES ET 1 DOCUMENTAIRE :
____________________________________________

1959 - AMOUR OU LA GLOIRE .L'

 

1951 - CANCER FUND FILM NOTABLES ATTEND GLITTERING BENEFITS
(Dans son propre rôle - Documentaire - Court métrage de 10 Min.)

 

1930 - SLIPPERY PEARLS
Dans son propre rôle - Court métrage de 20 Min. - De William McGann
Avec Wallace Beery, Buster Keaton, Jack Hill

 

1929 - VOICES ACROSS THE SEA
(Court métrage de 11 Min.)
Avec Ernest Torrence, Norma Shearer, John Gilbert, George K. Arthur

 

1926 - WAMPAS BABY STARS OF 1926
(Dans son propre rôle - Court métrage de 6 Min.)
Avec Mary Brian, Dolores Costello, Mary Astor, Vera Reynolds

 

2 PARTICIPATIONS POUR LA TÉLÉVISION
____________________________________________

 

1969 - ENVERS DU TABLEAU .L'
Téléfilm de Boris Sagal et Barry Sheara
Dans le rôle de : Claudia Menlo
Avec Ossie Davis, Richard Kiley, Roddy McDowall, Barry Sullivan

 

1969 - GARBO
Téléfilm - Dans son propre rôle - Documentaire de 65 Min.

 

_______________________FIN_____________________

 

commentaires (5)

hugongerard

02-10-2009 16:58:13

Une trés grande star , mais aussi une trés grande actrice , , mais détestable en tout point de tout le gratin d ' Hollywood . Qui aimait-elle vraiment ? .

alain labelle

16-09-2014 03:08:10

samedi le 13 sept 2014 j ai transporter le bateau que Joan Crawford ces servi avec Franchot Tone au lac 31 milles quebec

Closset m

11-07-2016 21:41:29

Si l,on crois le film elle devais être dérangée

Marie-Francine LONGVAL

14-04-2020 05:08:16

Je ne comprends pas pourquoi les gens perfectionnistes ne sont pas apprécié-es, de même pour Barbra STREISAND! moi j'admire leurs qualités, j'aurais aimé être comme Joan CRAWFORD une ménagère plus que parfaite! pour que tout brille! elle avait une volonté de BÉLIER tout comme ma mère, petite ménagère parfaite! J'ai rencontré Christine, l'ai encouragée à écrire son livre et en faire un film! j'ai été battue moi aussi par ma mère et ça reste INADMISSIBLE! et ça doit être dénoncé! mais à ans et à la fin de son vivant, j'ai su voir les grandes qualités de ma mère qui me fut si détestable car tellement hargneuse! haineuse! gratuitement! vraiment méchante! diabolique! je sais enfin regarder les 2 côtés de la médaille! et je conclus en me disant que leur méchanceté leur appartient! ainsi que leurs bonnes qualités, de même que pour moi-même! on a tous des reproches à se faire! qui que l'on soit! ce sont des relations puissantes AMOUR-HAINE! Tyran-Victime! des mauvais karmas qui nous font grandir et approfondir...en grattant le vernis de leur enfance et en les psychanalysant afin de mieux comprendre! cette actrice mariée souvent me semblait seule et combattive et a instruit ses enfants! femme brillante et tenace! mais impatiente! tout comme ma mère! et finalement moi-même mais moi j'AIME! j'ai AIMÉ fraternellement foule de gens! pour finir SAUVAGE préférant m'occuper de mes 2 chats et mes 5 oiseaux! les gens proches sont comme là pour nous dépecer! par leur méchanceté! on reste marqué-es par la violence et les abus physique du bâton-balais-ceinture sur nous! crachats et coups de pieds! et pitchée sur le mur à 5 ans par mon père et ils se sont séparés! ensuite, ce fut la MÈRE ÉTOUFFANTE! A 10 ans, je me suis jurée de ne plus jamais habiter avec personne! j'ai loué 2 années une chambre, mais les hommes sont des pas éduqués! je loue une chambre, je veux pas m'accoter avec toi! les hommes sont des cerveaux inférieurs, sans intuition face aux femmes qui ne veulent rien savoir d'eux! sauf fraternellement! il faut leur apprendre d'abord la FRATERNITÉ! c'est ce qui manque dans ce Monde ou tant de gens se suicident parce que ce n'est pas du sexe dont l'Ame a besoin mais d'AMITIÉ! de FRATERNITÉ! de confiance et de bonté en l'Autre! les hommes sont décadents! moins évolués que les animaux! et tellement en retard et tellement peu bien éduqués! trop de confiance malveillante en eux! ils sont laids et édentés et vieux et se croient un jeune premier! des monstres! détruisent la terre et leurs CERTITUDES! Les USA sataniques ont armé toute la planète! hypersexualisation et virus nouveaux et annuels viendront! Donc, heureusement qu'on a des films profonds qui nous ressemblent un peu, avec Joan CRAWFORD ou bien qui nous font connaitre les comportements variés des humains sur terre et qui vivent si différemment de nous! Tout existe! Moi je dis BRAVO au talent qui me fait connaitre des situations grâce aux flms et espérant que l'on s'améliore de vie en vies! si on se ré-incarne! reste qu'il faut voir aussi nos bons karmas! pour nous ré-équilibrer! si elle est méchante et si moi je suis gentille, qui est la gagnante? face à la Loi DIVINE ou COSMIQUE? Tout est enregistré! dans la Banque des Enfers et du CIEL! S'assumer! se voir en face! ne pas se mentir! et l'humilité de voir nos faiblesses, nos erreurs et nos qualités! et rechercher l'harmonie! tomber et se relever! elle n'est pas morte en 1977 et elle m'avait dit que ce n'était pas facile d'ÉDUQUER des ENFANTS! et je le sais depuis que je vis avec mes 2 chats et mes 5 oiseaux! ils savent ou pitonner pour nous impatienter! mais si L'AMOUR FRATERNEL est là, cela crée un équilibre et une HARMONIE! INVINCIBLE! Je les aime! et ils m'aiment en retour! La zoo-thérapie, ça m'enlève l'ANXIÉTÉ et la DÉPRESSION! AIMER ces plus petits que soi! et les protéger! et les nourrir, ce sont des SENTIMENTS CÉLESTES qui nous ADOUCIT LE COEUR!

Vincent

24-06-2021 09:22:08

Très bel article