JEAN ROCHEFORT

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Profession:
Acteur et homme de théâtre français.

Date et lieu de naissance:
29-04-1930, à Paris 20ème, France.

Date et lieu du décès:
08-10-2017, à Paris, France.

Cause du décès:
Meurt à l'hôpital de la Salpêtrière dans la nuit du 8 au 9 octobre 2017 à l'âge de 87 ans.

Nom de naissance:
Jean Raoul Robert Rochefort - Surnom : Jeannot

État civil:
Divorcé de ÉLISABETH BARDIN (pas de dates).

Divorcé d'ALEKSANDRA MOSKWA (16 juin 1960 - 19??).
Ils eurent deux enfants. : Marie (1962) et Julien (1965)

Ex-compagnon de NICOLE GARCIA (pas de dates).
Ils eurent un fils : Pierre, (1981).

Marié avec : FRANÇOISE VIDAL - Jusqu'au décès de Jean en 2017.
Ils eurent deux enfants. Louise (1990) et Clémence (1992)

Taille:
(1m81)

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Anecdotes

Fils de Célestin Rochefort et Fernande Guillot.

Parallèlement au Conservatoire et à son service militaire, le soldat Rochefort tombe en admiration devant un Marielle plein d'aisance et de talent dans la toge de Néron à l'école de la rue Blanche. Dix mois plus tard, libéré de l'armée, l'ex-sergent-chef retrouve au Conservatoire Marielle, Belmondo, Cremer et Girardot, la nouvelle vague du théâtre. Leur amitié ne faillira jamais. C'est comme ça que Rochefort a pu tourner dans Cartouche, à la place de Marielle empêché par un agenda chargé. Avec Belmondo, ils avaient recommandé leur copain auprès de la production. Ensemble, « ils n'attendaient rien d'autre que le bonheur de jouer ».

Jean Rochefort réalise trois courts-métrages et apparaît occasionnellement sur les planches et à la télévision.

Autre pire souvenir avec Mon Dieu, comment suis-je tombé si bas ? en 1974. Luigi Comencini le cinéaste italien s'était montré si odieux, ne s'adressant à ses acteurs qu'à coups de sifflet, que Rochefort lui avait signifié son mépris par courrier. Cinq ans plus tard, le vaniteux Luigi Comencini sollicite l'acteur français pour un prochain rôle. Au téléphone, avant de prestement raccrocher, la réponse ne s'est pas fait attendre : « Mais, monsieur, nous sommes fâchés ! »

Un éléphant, ça trompe énormément
Un rôle taillé sur mesure pour « le bourgeois type que je représentais aux yeux des Français », rapporte le comédien. Quand Yves Robert vient lui apporter son scénario, l'acteur/éleveur est en train de remuer du fumier. Le soir même, il appelle le scénariste pour lui dire qu'il a « entre les mains un chef-d'oeuvre d'humanisme ». Le tournage a été idyllique.


Le Crabe-tambour

Rochefort voulait ardemment ce rôle de commandant de l'escorteur. Sa requête accordée, il découvre, effaré, au cours d'un dîner avec des anciens d'Indochine, les atrocités commises dans des villages. Désirant se retirer du tournage, il s'est vu rabroué par Schoendoerffer : « Vous avez signé. Vous faites le film ou je vous fais un procès. » C'est donc contraint qu'il a vécu jour et nuit durant deux mois dans son uniforme, confiné sur un navire de guerre immense, par un temps apocalyptique. Au fil des jours, il était devenu le commandant. Le chef-d'oeuvre lui vaudra en 1978 le césar du meilleur acteur.

Patrice Leconte
Si le tournage des Vécés étaient fermés de l'intérieur s'était avéré hasardeux, « Leconte avait 23 ans et n'y connaissait rien », les années 1980 et 1990 ont été plus remarquées pour le réalisateur et son acteur. « Tamdem, Le Mari de la coiffeuse, Ridicule et Les Grands Ducs ont été les plus grands rôles que Leconte m'ait offerts », note Rochefort.


Les chevaux

Son grand-père était éleveur. C'est à trente ans, sur le tournage de Cartouche en 1962, que son petit-fils Jean se découvre une passion pour l'équitation. Depuis, il possède un haras et n'est pas peu fier d'avoir mis au monde plus d'une centaine de poulains. L'acteur a commenté de nombreuses épreuves équestres dont celles des Jeux olympiques d'Athènes en 2004 et le Paris Eiffel Jumping de 2014 avec son ami Guillaume Canet.

Don Quichotte
Une expérience douloureuse sur un tournage catastrophique dirigé par Terry Gilliam. Pour avoir un Rossinante convenable, l'animal avait été privé de nourriture durant 40 jours. L'acteur, affecté, avait mal vécu de monter un cheval si maigre qui se traînait lamentablement. De plus, terrassé par une double hernie discale, il avait été contraint par les médecins à déclarer forfait. Jamais il ne pourrait remettre les pieds dans les étriers. Le film n'a jamais été achevé et Rossinante est mort quelques jours après l'arrêt du tournage. Ces événements ont marqué le début de la descente aux enfers de Jean Rochefort qui a sombré dans pas moins de cinq dépressions consécutives, dont il a mis du temps à se remettre.

Retraite
Il avait déjà fait le coup de la retraite après la sortie en 2013 de L'Artiste et son modèle. Ce serait son dernier film. D'autant que les scénarios qu'il reçoit sont plus lamentables les uns que les autres : « Pépé part en vacances, Comment se débarrasser de pépé », etc., etc. ! La messe était dite et c'était bien comme ça. Jusqu'au tournage de Floride qui sera, cette fois, son dernier film. Avec humour et autodérision, l'acteur assure que continuer « serait un cabotinage arthritique ».

Jeune génération
Père de cinq enfants, dont Pierre né de ses amours avec Nicole Garcia, Jean Rochefort s'est également trouvé deux fils spirituels. D'abord Guillaume Canet, rencontré sur le tournage du thriller Barracuda en 1997 et avec lequel il partage l'amour des chevaux. Et aussi Édouard Baer, sorte d'alter ego dandy, tout aussi excentrique que lunaire. « Chacun est talentueux et possède de grandes qualités humaines », selon papa Jean.

Source : Le Point.fr/ - Fait le 09 octobre 2017 par Philippe de CinéMémorial.


photos

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Biographie

Hommage à JEAN ROCHEFORT. Dans le film : LE CAVALEUR.

Ajout de la vidéo le 09 octobre 2017 par Philippe de CinéMémorial

 

Mort de Jean Rochefort, le grand seigneur du 7e art

Décédé dans la nuit à 87 ans, Jean Rochefort a traversé les époques, alternant nanars et chefs-d'oeuvre, sans jamais perdre son élégance.

Il avait ce côté aristocrate qui imposait le respect et charmait l'esprit. Un rien cabot, toujours malicieux, le verbe haut, le propos parfois égrillard et un look british légèrement désuet... Jean Rochefort a traversé les époques avec élégance et panache, en aimant les bons mots, l'amour et les chevaux, tel un seigneur du XVIIIe siècle. Et une certaine ironie affichée, comme pour garder cette âme d'enfant qu'il n'a jamais voulu perdre dans les méandres du métier. Et cacher une mélancolie dont il ne parviendra jamais à guérir tout à fait. La dérision comme art de vivre, en quelque sorte.

Il grandit dans une province qui l'ennuie profondément, avec une mère comptable et un père autodidacte, devenu cadre dans l'industrie pétrolière. Sa voie est toute tracée : décrocher de bons diplômes, comme son frère aîné, qui intégrera Polytechnique. Mais le jeune Rochefort est de nature rêveuse, peu porté sur les études, au grand désespoir du paternel. Un jour, sous le crachin nantais, il pousse la porte d'un cinéma et découvre Gary Cooper en se disant que la vie se déroulait sous ses yeux. Mais son père le veut comptable : après 1945, il l'envoie étudier à Paris, c'est une catastrophe. « J'ai passé la matinée à chercher l'école au 78, rue de Richelieu, a-t-il expliqué un jour dans Le Figaro. En rentrant, je lui ai dit : Papa, entre le ­­­77 et le 79, le 78 n'existe pas. J'ai pris une tarte. »


Les glandeurs du conservatoire Il intègre l'école d'art dramatique de la rue Blanche, puis le conservatoire, et sympathise d'emblée avec la bande de joyeux lurons avec qui il fera désormais les 400 coups : Jean-Pierre Marielle, Jean-Paul Belmondo, Bruno Cremer, Annie Girardot, Claude Rich, la promo idéale. Des années d'insouciance, sans un rond, mais avec l'envie d'oublier cet après-guerre déprimant. « Ce que nous voulions, c'était jouer, rire, retrouver les copains, gagner de l'argent pour vivre, s'est souvenu Rochefort dans L'Express. Comme une certaine forme de marginalité. Et puis l'autodérision est une chose qui ne nous a jamais quittés. » Tout le monde est admis au concours de sortie, sauf lui. Première grosse déprime. Il commence à douter, un manque de confiance en lui qui le poursuivra longtemps.

Il enchaîne les seconds rôles, on lui trouve un air british, il s'y complaît avant de s'attaquer à un répertoire plus soutenu au théâtre, avec des pièces de Giraudoux, Obaldia ou Harold Pinter... En parallèle, il met du beurre dans les épinards en s'essayant au cinéma, épaulé par ses copains du conservatoire qui lui dégotent des rôles de circonstance comme dans Cartouche, au côté de Belmondo. Après la saga des Angélique et Les Tribulations d'un Chinois en Chine, il confirme son statut d'acteur populaire dans Le Grand Blond avec une chaussure noire, L'Horloger de Saint-Paul ou encore Un éléphant ça trompe énormément. Ce sont les années fastes, avec deux césars décrochés pour les films Que la fête commence et Le Crabe-tambour – le métier lui en décernera un troisième pour l'ensemble de sa carrière en 1999.


La période « avoine et foin »
À côté des films marquants, il y aura les autres, des nanars et de formidables échecs, que Rochefort jugera avec une certaine philosophie. « Il m'a parfois fallu tourner des inepties, le plus souvent en Italie, pour nourrir mes incartades. En même temps, les nanars font de jolies blessures de guerre... » Il excuse joliment ses erreurs de parcours en évoquant la période « avoine et foin ». Traduction : il fallait nourrir sa passion, celle des chevaux, qui l'a pris sur le tournage de Cartouche, dans les années 1960. L'acteur se met à l'équitation, fréquente les haras avant de s'offrir celui de Villequoy, à Auffargis, dans les Yvelines, où il joue les gentlemen-farmers – il mettra lui-même au monde une trentaine de poulains. Le cinéma devient un gagne-pain pour pouvoir vivre selon son bon plaisir. Et assumer sa famille. « Les enfants et les chevaux, faut que ça mange ! confiera-t-il un jour à L'Express. Sans compter ma vie sexuelle et affective, pleine de heurts... »

À 22 ans, il convole en Bretagne avec Babeth, une pianiste : premier mariage, mauvaise expérience, selon ses propres dires. Il épouse ensuite Alexandra sur un coup de tête, à Varsovie : elle est la fille d'un ministre et il veut « la sauver du communisme », comme il l'expliquera plus tard, un rien fanfaron. Après vingt ans de mariage et deux enfants, il rencontre l'actrice Nicole Garcia, avec laquelle il a un garçon. Puis il croise la route de l'architecte Françoise Vidal lors d'un concours hippique : c'est le coup de foudre, il a deux autres enfants avec elle. Au total, trois filles et deux garçons, qu'il ne voit pas beaucoup grandir entre le métier, les promotions et les chevaux... « Comme père, je trouve que j'ai été très mauvais, reconnaît-il un jour dans Paris Match. J'ai été tellement occupé à nourrir tout ce monde-là, que je n'ai pas su, pas pu prendre le temps qu'il fallait. »


Descente aux enfers
Cinéma, télévision, théâtre, il ne dételle jamais. Après avoir tourné avec les plus grands – Buñuel, Audiard, Tavernier, Chabrol –, il connaît encore de beaux succès avec Ridicule de Patrice Leconte, Le Placard de Francis Veber ou encore Ne le dis à personne, de Guillaume Canet, un ami avec lequel il partage la même passion pour l'équitation. Il sera plus malchanceux avec Don Quichotte, un film cauchemardesque qu'il est obligé d'interrompre en raison d'une hernie foudroyante. S'ensuit une longue période dépressive en plusieurs phases, où il reste parfois couché sept mois. « La seule joie de mes journées, c'était quand j'avais trouvé l'endroit pour me tuer, confie-t-il à Libération en 2013. À ce moment-là, il faut faire très gaffe, ne pas rester seul. J'ai été sauvé par un psychiatre qui, à force de travail sans succès avec moi, m'a dit : Il y a une solution, c'est Paris. » Retour donc à la capitale pour un nouveau tour de piste.

À plus de 80 ans, toujours imprévisible, il savoure encore les joies du métier en faisant le grand écart entre la grosse production d'Astérix (Au service de Sa Majesté) et la comédie dramatique Floride, où il joue un malade atteint d'Alzheimer. À ceux qui font courir le bruit d'une prochaine retraite, il répond qu'il reste toujours disponible pour un rôle intéressant. Comme un dernier salut avant l'ultime rendez-vous... « La mort, je la sens venir, et il y a des moments où je suis content qu'elle arrive, confiait-il en 2015 au JDD. Le corps le demande, et la tête parfois aussi. Mais n'a pas envie de faire du chagrin aux autres... »


SES RÉCOMPENSES :

2001 - Pour le film : L'HOMME DU TRAIN Prix de l'Audience du meilleur acteur au festival du cinéma de Venise, Italie.

2001 - Pour le film : L'HOMME DU TRAIN Prix Lumière du meilleur acteur aux Prix Lumière, France.

1999 - César d'honneur, France.

1994 - Pour le film : PRÊT-À-PORTER Prix NBR d'interprétation pour l'ensemble de la distribution par la National Board of Review, États-Unis.

1981 - Pour le film : L'INDISCRÉTION – Prix du meilleur acteur - Festival des films du monde de Montréal, Canada.

1981 - Pour le film : L'INDISCRÉTION – Meilleur acteur au Mystfest, Italie.

1978 - Pour le film : LE CRABE TAMBOUR César du meilleur acteur, France.

1976 - Pour le film : QUE LA FÊTE COMMENCE... – César du meilleur second rôle masculin, France.

Source : Marc Fourny pour Le Point.fr - Fait le 09 octobre 2017 par Philippe de CinéMémorial.

Filmographie


 

124 LONGS MÉTRAGES DÉTAILLÉS
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2014 - FLORIDE

 

2011 - ASTÉRIX ET OBÉLIX : AU SERVICE DE SA MAJESTÉ

 

2011 - ARTISTE ET SON MODÈLE .L'

 

2010 - TITEUF

 

2008 - AGATHE CLÉRY

 

2007 - CLEF .LA

 

2006 - VACANCES DE MR. BEAN .LES

 

2006 - NE LE DIT À PERSONNE

 

2006 - J'AI TOUJOURS RÊVÉ D'ÊTRE UN GANGSTER

 

2006 - DÉSACCORD PARFAIT

 

2005 - ENFER .L'

 

2005 - AKOIBON

 

2003 - RRRrrrr !!!

 

2003 - DALTON .LES

 

2003 - CLEFS DE BAGNOLE .LES

 

2003 - FANFAN LA TULIPE

 

2002 - IL ÉTAIT UNE FOIS JEAN-SÉBASTIEN BACH

 

2001 - HONOLULU BABY

 

2001 - HOMME DU TRAIN .L'

 

2001 - BLANCHE

 

2000 - PLACARD .LE

 

2000 - HOMME QUI TUA DON QUICHOTTE .L'

 

1998 - REMBRANDT

 

1997 - VENT EN EMPORTE AUTANT .LE

 

1997 - SERPENT A MANGÉ LA GRENOUILLE .LE

 

1997 - COMTE DE MONTE-CRISTO .LE

 

1997 - BARRACUDA

 

1996 - RIDICULE

 

1996 - NEVER EVER

 

1996 - BELMONDO, LE MAGNIFIQUE

 

1996 - AFFINITÉS ÉLECTIVES .LES

 

1995 - GRANDS DUCS .LES

 

1995 - PALACE

 

1994 - PRÊT-À-PORTER

 

1994 - MÊME HEURE L'ANNÉE PROCHAINE

 

1993 - TOMBÉS DU CIEL

 

1993 - TOM EST TOUT SEUL

 

1993 - ET ENSUITE LE FEU

 

1993 - CIBLE ÉMOUVANTE

 

1992 - TANGO

 

1992 - ATLANTIDE .L'

 

1991 - LONG HIVER .LE

 

1991 - BAL DES CASSE-PIEDS .LE

 

1990 - MARI DE LA COIFFEUSE .LE

 

1990 - AMOUREUX FOU

 

1989 - JE SUIS LE SEIGNEUR DU CHÂTEAU

 

1989 - CHÂTEAU DE MA MÈRE .LE

 

1988 - SUEURS FROIDES

 

1987 - TANDEM

 

1987 - MES 40 PREMIÈRES ANNÉES

 

1986 - MOUSTACHU .LE

 

1985 - GALETTE DU ROI .LA

 

1985 - DAVID, THOMAS ET LES AUTRES

 

1984 - RÉVEILLON CHEZ BOB

 

1984 - FRANKENSTEIN 90

 

1983 - AMI DE VINCENT .L'

 

1982 - HONNEUR D'UN CAPITAINE .L'

 

1982 - GRAND FRÈRE .LE

 

1982 - DIMANCHE DE FLIC .UN

 

1981 - INDISCRÉTION .L'

 

1981 - IL FAUT TUER BIRGITT HAAS

 

1980 - ÉTRANGE VOYAGE .UN

 

1980 - JE HAIS LES BLONDES

 

1980 - CHÈRE INCONNUE

 

1979 - GRANDISON

 

1979 - FRENCH POSTCARDS

 

1979 - COURAGE FUYONS

 

1979 - CAVALEUR .LE

 

1977 - NOUS IRONS TOUS AU PARADIS

 

1977 - GRANDE CUISINE .LA

 

1977 - CRABE TAMBOUR .LE

 

1976 - ÉLÉPHANT, ÇA TROMPE ÉNORMÉMENT .UN

 

1976 - DIABLE DANS LA BOÎTE .LE

 

1975 - VÉCÉS ÉTAIENT FERMÉS DE L'INTÉRIEUR .LES

 

1975 - QUE LA FÊTE COMMENCE

 

1975 - MAGICIENS .LES

 

1975 - INNOCENTS AUX MAINS SALES .LES

 

1975 - DIVORCE HEUREUX .UN

 

1975 - CALMOS

 

1974 - RETOUR DU GRAND BLOND .LE

 

1974 - MON DIEU, COMMENT SUIS-JE TOMBÉE SI BAS ?

 

1974 - ISABELLE DEVANT LE DÉSIR

 

1974 - FANTÔME DE LA LIBERTÉ .LE

 

1974 - COMMENT RÉUSSIR QUAND ON EST CON ET PLEURNICHARD

 

1973 - SALUT L'ARTISTE

 

1973 - HORLOGER DE SAINT-PAUL .L'

 

1973 - HOMME AUX NERFS D'ACIER .L'

 

1973 - COMPLOT .LE

 

1973 - BEL ORDURE

 

1972 - HÉRITIER .L'

 

1972 - GRAND BLOND AVEC UNE CHAUSSURE NOIRE .LE

 

1972 - FEUX DE LA CHANDELEUR .LES

 

1971 - OEUF .L'

 

1971 - MALHEURS D'ALFRED .LES

 

1970 - LIBERTÉ EN CROUPE .LA

 

1970 - CÉLESTE

 

1969 - TEMPS DE MOURIR .LE

 

1968 - POUR UN AMOUR LOINTAIN

 

1968 - DIABLE PAR LA QUEUE .LE

 

1967 - À COEUR JOIE

 

1967 - NE JOUEZ PAS AVEC LES MARTIENS

 

1966 - QUI ÊTES-VOUS, POLLY MAGGOO

 

1966 - JOHNNY BANCO

 

1965 - TRIBULATIONS D'UN CHINOIS EN CHINE .LES

 

1965 - FACTEUR S'EN VA-T-EN GUERRE .LE

 

1965 - DIMANCHE DE LA VIE .LE

 

1965 - ANGÉLIQUE ET LE ROY

 

1965 - AH ! LES BELLES FAMILLES

 

1964 - PIEDS NICKELÉS .LES

 

1964 - MERVEILLEUSE ANGÉLIQUE

 

1964 - BARBOUZES .LES

 

1964 - ANGÉLIQUE, MARQUISE DES ANGES

 

1963 - SYMPHONIE POUR UN MASSACRE

 

1963 - PORTEUSE DE PAIN .LA

 

1963 - FOIRE AUX CANCRES .LA

 

1963 - DU GRABUGE CHEZ LES VEUVES

 

1962 - FORT DU FOU

 

1962 - MASQUE DE FER .LE

 

1961 - SOLEIL DANS L'OEIL .LE

 

1961 - CARTOUCHE

 

1960 - VINGT MILLE LIEUES SUR LA TERRE

 

1960 - CAPITAINE FRACASSE .LE

 

1958 - BALLE DANS LE CANON .UNE

 

1955 - RENCONTRE À PARIS

 

SA PARTICIPATION POUR LA TÉLÉVISION
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2011 - BELMONDO, ITINÉRAIRE...
Réal : Vincent Perrot et Jeff Domenech

 

2010 - GRAND RESTAURANT .LE (divertissement)
Réal : Gérard Pullicino

 

2007 - CHEZ MAUPASSANT

 

2004 - FRANKENSTEIN
Réal : Kevin Connor

 

2002 - SAINT-GERMAIN OU LA NÉGOCIATION
Réal : Gérard Corbiau

 

1998 - COMTE DE MONTE-CRISTO .LE
Réal : Josée Dayan

 

1997 - CLARA ET SON JUGE
Réal : Joël Santoni

 

1990 - SECONDE .LA
Réal : Christopher Frank

 

1988 - SUEURS FROIDES : UN COEUR
Réal : pierre d'Alain Bonnot

 

1988 - GUERRA DI SPIE
Réal : Duccio Tessari

 

1985 - ÉNIGME BLANCHE .L'
Réal : Peter Kassovitz

 

1983 - SCÉNARIO DÉFENDU .LE
Réal : Michel Mitrani

 

1983 - CHIENS DE JÉRUSALEM .LES
Réal : Fabio Carpi

 

1971 - MISANTHROPE .LE (Molière)
Réal : Pierre Dux

 

1968 - DON JUAN REVIENT DE GUERRE
Réal : Marcel Cravenne

 

1965 - NAÏF AMOUREUX .LE
Réal : Philippe Ducrest

 

1965 - GENOUSIE
Réal : Claude Loursais

 

1963 - SCIEUR DE LONG .LE
Réal : Marcel Bluwal

 

1962 - NUIT DES ROIS .LA
Réal : Claude Barma

 

1962 - LETTRE DANS UN TAXI .LA
Réal : Pierre Badel

 

1961 - MARIAGE DE FIGARO .LE
Réal : Marcel Bluwal

 

1961 - LOIN DE RUEIL
Réal : Claude Barma

 

1960 - ARDEN DE FAVERSHAM
Réal : Marcel Bluwal

 

1958 - MONSIEUR DE SAINT-GERMAIN
Réal : Philippe Ducrest

 

1958 - DAME DE PIQUE .LA
Réal : Stellio Lorenzi

 

1957 - FIANCÉS DU PARADIS
Réal : Lazare Iglesis

 

RÉALISATEUR DE 2 COURTS MÉTRAGES ET 1 DOCUMENTAIRE.
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2010 - CAVALIERS SEULS
Documentaire co-réalisé avec Delphine Gleize

 

1974 - T'ES FOU MARCEL
Court-métrage

 

1973 - ROSINE
Court-métrage

 

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commentaires (1)

seb

05-01-2022 16:56:53

Monsieur Rochefort, un monument à lui tout seul. Il a lui aussi touché à tout, théâtre, cinéma, documentaire, série tv (vous avez oublié la série Les Boeuf-carottes où il faisait un savoureux tandem avec le jeune Philippe Caroit) ou encore voix off de séries pour enfants (Winnie l'Ourson dans les années 80) et j'en oublie certainement ! Il nous laisse beaucoup beaucoup de beaux souvenirs et ma foi, qu'il reste si présent dans nos mémoires c'est bien le principal !