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Profession:
Acteur, scénariste et réalisateur français.
Date et lieu de naissance:
31-12-1887, à Paris 14e, en France.
Date et lieu du décès:
19-02-1970, à Le Raincy, Seine-Saint-Denis, France.
Il est inhumé à Paris dans le cimetière des Batignolles (11e division).
Cause du décès:
De mort naturelle à l'âge de 82 ans.
Nom de naissance:
Gaston Victor Modot.
État civil:
?
Taille:
?
Fils d'un architecte, Gaston Modot s'intéressa à la peinture et fréquenta des artistes comme Picasso et Modigliani, mais aussi des écrivains (Blaise Cendrars). Après s'être essayé à la peinture, il a créé des décors de cinéma et de ce fait est devenu acteur. Dès 1909, il se consacra au cinéma et participa à l'aventure comique de la bande des « Pouittes », avec Jean Durand. Il joua dans les séries Onésime et Calino. Avec Joë Hamman, il tourna, en Camargue, des séries de western.
Après guerre, Gaston Modot s'intéressa davantage au cinéma intellectuel français. Il prit part aux projets de Louis Delluc, Germaine Dulac ou Abel Gance. En 1930, il est dans L'Âge d'or de Buñuel, puis enchaîne des rôles marquants : Fantômas de Paul Fejos, Sous les toits de Paris de René Clair, La Bandera de Julien Duvivier, Lucrèce Borgia d’Abel Gance. Il collabore beaucoup ensuite avec Jean Renoir : La Grande Illusion (1937), La Marseillaise, La vie est à nous (1937), La Règle du jeu (1939), French Cancan (1954). On le trouve aussi dans Pépé le Moko (Julien Duvivier), Casque d'or (Jacques Becker), Les Enfants du paradis (Marcel Carné), une filmographie impressionnante. Il avait gardé de son expérience d'acteur de cinéma muet une gestuelle très expressive.
Il est inhumé à Paris dans le cimetière des Batignolles (11e division).
Il débute sa carrière au temps du muet dans des petites bandes burlesques et des westerns de Jean Durand au début des années dix, puis on le retrouve dans des films d’Abel Gance, Germaine Dulac, Louis Delluc, Raymond Bernard, Maurice Tourneur mais c’est surtout au cours des années trente qu’il sera remarqué dans des films comme L’Âge d’or de Luis Buñuel, Sous les toits de Paris et Quatorze juillet de René Clair, L’Opéra de quat’sous de G.W. Pabst, La Bandera et Pépé le Moko de Julien Duvivier.
Grâce à sa rencontre avec Jean Renoir, Gaston Modot va obtenir ses rôles les plus mémorables dans La Grande Illusion et La Règle du jeu où il joue le garde-chasse.
Puis dans les années quarante, Gaston Modot continuera de tourner de nombreux films auprès des réalisateurs comme Jacques Becker, Henri Decoin, Louis Daquin, Louis Malle.
Et bien sûr, Gaston Modot c’est aussi l’aveugle, Fil de soie, dans Les Enfants du paradis de Marcel Carné (1945).
Gaston Modot c’est aussi un peintre d’aquarelles, il fût également l’ami de grands peintres de son époque comme Modigliani qui le peint en 1918. Il était l’ami d’écrivain comme Mac Orlan et jouait de la guitare dans les années dix au Lapin Agile.
Il fut co-scénariste du film Nous les gosses de Louis Daquin en 1941 mais aussi de Leçon de conduite de Gilles Grangier (1945).
Il a même réalisé, en 1928, un court-métrage Conte cruel, tiré d’un récit célèbre de Villiers de l’Isle Adam, dont le scénariste et assistant-réalisateur était le grand Charles Spaak.
Nous vous proposons donc cette série d’entretiens que Gaston Modot eut avec le journaliste Nino Frank qui paraîtront dans la revue Pour Vous entre 1939 et 1939.
Nous avions déjà consacré à Gaston Modot un post au tout début de ce site ici.
J’ai rencontré Gaston Modot au café de La Rotonde, au milieu des tableaux d’un goût incertain et mélancolique que trois générations d’artistes manqués ont abandonné à un limonadier respectueux de l’art et de ses simulacres. Sur la rive gauche, on n’est artiste que si l’on possède des pinceaux et l’on s’en sert ; on est plus généreux sur la rive droite, où ce terme appartient aussi, de droit, aux acteurs de théâtre et de cinéma.
Néanmoins, et bien que toutes ces réflexions tirent leur origine d’un rendez-vous à La Rotonde, et s’y situent, je ne craindrai pas d’appliquer à Gaston Modot ce mot d’artiste.
C’est, en effet, comme peintre qu’il débuta, et, dans cette Rotonde même, une constante amitié le lia à Modigliani et à d’autres héros des jours obscurs. On raconte même que les tableaux que Modot peint encore, de temps en temps, pour se distraire (et qu’il a exposés à je ne sais quel Salon de théâtre), ne sont pas sans avoir gardé, en petite dose, une ressemblance puissante avec certains aspects de l’œuvre de Modigliani.
Mais ce n’est pas là l’unique violon d’Ingres de cet acteur sympathique et consciencieux : d’ailleurs en fait de violon d’Ingres, il serait probablement plus juste de parler de sa guitare, dont il joue à ses moments perdus, pour accompagner des chansons espagnoles d’une saveur forte. Et puisque nous en sommes à l’Espagne, ajoutons que Gaston Modot a une véritable adoration pour ce pays et pour tout ce qui en relève : il joue à la pelote, il porte un béret basque, il a une guitare, il a fait le portrait de Raquel Meller en Carmen. Bien entendu, il a parcouru l’Espagne en long et en large : il se sent même beaucoup d’affinités avec le peuple espagnol. Ce n’est pas tout : la vie de Gaston Modot est bien plus compliquée qu’on ne croit.
Ce garçon grand et déguingandé, aux mâchoires fortes et aux yeux pointus, est un sportif fervent. Je ne parle pas de sa voiture, avec laquelle il traverse Paris, la France, l’Europe, toutes les fois qu’il lui est nécessaire de sortir de chez lui. Modot nage, monte à cheval, fait de l’escrime, court : il l’a bien prouvé dans ses films.
« Aussitôt que je peux m’évader de mon travail, avoue-t-il, je me précipite dans le Midi pour y vivre quelques bonnes journées de plein air et de sport. »
Enfin, Gaston Modot est un fervent du phonographe, et il possède une discothèque, comme dit M. André Cœuroy, magnifique ; et, dit-il, « je voudrais bien écrire des livres, des mémoires, on m’a souvent dit que ma façon de raconter est amusante, mais je suis trop paresseux… »
Tout ce qui précède, c’est-à-dire tout ce que Gaston Modot accomplit, de son propre aveu, à « ses moments perdus », doit donner l’essor à deux ou trois remarques dignes de mention :
1° que Gaston Modot doit trouver dans ses journées beaucoup de moments perdus pour faire toutes ces belles choses ;
2° qu’il n’a, en réalité, pas du tout l’air d’être un paresseux ;
3° que tant d’activité sentimentale et physique n’a pu manquer de conserver Gaston Modot gai, jeune, modeste et enthousiaste ;
4° que tout ce qui précède ne laisse pas du tout supposer que Modot est, dans la production cinématographique française, le « vilain » de prédilection, le traître perpétuel, l’homme aux rictus, aux balafres, aux inventions perfides, aux sentiments bas…
Car en somme, il ne faut pas oublier que ce qui nous importe le plus chez Gaston Modot, c’est sa carrière d’acteur. Ce figurant d’autrefois a conquis ses galons ; il faisait, comme on dit, de la « figuration intelligente » : voici la preuve que déjà à cette époque on commençait à le considérer avec attention.
Mais il y a loin de ses véritables débuts, ceux du premier Monte Cristo de Nalpas, à ses succès actuels, dans le Monte Cristo d’Henri Fescourt, par exemple, ou dans cet étrange Navire des hommes perdus de Maurice Tourneur, qui vient de nous être présenté, et où Modot joue un rôle prépondérant. Entre temps, La Sultane de l’amour, Un ours, Mathias Sandorf, Veille d’armes, Carmen, de Feyder…
Toujours méchant, toujours vilain : sans se maquiller outre mesure, incarnant à la perfection son personnage ; possédant dix, quinze visages, qu’on n’oublie pas et pour lesquels on finit par avoir de la sympathie, bien qu’ils ne la méritent guère…
« Pourquoi me limiter à un seul rôle, à un seul aspect de ma personnalité dramatique ? Je songe à McLaglen, au Jannings de Variétés : voilà des rôles que j’eusse pu jouer, et pour lesquels j’aurais ce qu’il faut - le sens de l’acrobatie, les muscles souples, les poings durs, de l’endurance… »
Cet acteur médite et s’analyse : on l’a vu composer des scénarios de film. Voilà qu’il aborde la mise en scène : son Conte cruel, tiré d’un récit célèbre de Villiers de l’Isle Adam, concilie son goût pour l’Espagne et sa puissante sentimentalité dramatique ; tourné à côté de la Jeanne d’Arc de Marco de Gastyne, ayant plus de chances de durer que cette œuvre sérieuse ; il est la preuve vivante de la versatilité et de l’intelligence de Modot.
« J’en ferais d’autres, sans doute, si on le voulait bien ; j’aimerais faire bien des choses… Mais laissons mes projets : inutile de s’y arrêter. Ce qui importe, c’est que nous sommes à un grand tournant de l’évolution du cinéma : je crois que le film sonore et parlant vient à point pour redonner du sang frais au cinéma américain et mondial. Pour mon compte, je crois à un film mi-sonore mi-parlé, qui ne contienne pas uniquement des dialogues inutiles : il faut parler et sonoriser ce qu’on ne voit pas. Sinon on imitera le théâtre… »
NINO FRANK
Gaston Modot, que le public n’avait pas vu à l’écran depuis Autour d’une enquête, vient d’y reparaître sous l’aspect cynique, grave et hautain de Peachum, le « roi des mendiants » de L’Opéra de quat’ sous, version française. Il a dû se vieillir, pour la circonstance : mais le sombre éclat de ses yeux de « vilain », qui ont fait sa fortune au cinéma, le trahissent.
Car Modot, au naturel, est un homme mince et dégingandé, jeune et vif, sous des dehors de nonchalance.
On le trouve, près de la porte Maillot, dans son atelier où il est, tour à tour, peintre, jongleur et même auteur de scénarios….
« Combien de rôles j’ai sur la conscience ? Impossible de vous donner un chiffre approximatif. J’ai commencé à faire du cinéma à l’époque où un film ne coûtait qu’une semaine de travail, au maximum…. Autrefois, je peignais : je vivais à Montparnasse, et Modigliani y était mon grand ami. Je me souciais de cinéma comme de l’an quarante — mais il est bon d’ajouter que cela se passait il y a vingt ans, et qu’à ce moment-là, le cinéma vagissait encore…. Donc, cela a commencé de la manière la plus simple : un ami opérateur, que j’étais allé voir dans un studio, me présenta à Durand, metteur en scène ; nous nous liâmes, il me demanda de tourner un petit rôle… Cela m’amusait… Je fus, pour commencer, cow-boy : que de galops en Camargue, que de cabrioles et sauts périlleux ! Voyez-vous, j’ai toujours été assez sportif, je n’ai jamais craint de me casser le cou.
« Après le Far-West en Camargue, je commençai, toujours avec Durand, à interpréter des rôles dans une longue série de films comiques, les Onésime. Oui, moi qui, depuis, ai dû me résigner à n’être toujours que le traître impitoyable, le « vilain » systématique — j’ai été acteur comique : grimaces, contorsions, fausses moustaches…. Puis la guerre : et après la guerre, le cinéma ayant évolué, des films plus importants, des rôles sérieux.
« Quant à ce que je préfère dans tout ce que j’ai fait, écoutez : Carmen de Feyder, pour les films muets, et Sous les toits de Paris pour le « parlant » : j’y ai bien réalisé ce que je voulais. Dans Autour d’une enquête, un rôle un peu effacé m’a pourtant permis, je crois, de créer un type ; voilà le genre de personnage qui me tiendrait à cœur : un policier, rien d’extravagant ou de romanesque, simplement un policier consciencieux et attentif. Il doit pourtant y avoir des rôles de ce genre ! Pourquoi veut-on que je gâte toujours la digestion des spectateurs avec ma méchanceté systématique ?
« Je viens d’achever, avec Gina Manès et Richard Willm, Sous le casque de cuir, drame d’aviation ; cela me rappelle un autre film sur l’aviation, que nous avions tourné autrefois, à l’occasion de la guerre balkanique : j’y totalisai mes premières heures de vol, à Villacoublay. Et je ne sais pas encore ce que je dois faire : pour le moment, je peins un tableau pour le Salon de l’Union des Artistes, où j ai toujours exposé. On m’avait proposé un rôle de jongleur, et, voyez, j’ai voulu me documenter : je jongle déjà assez discrètement… et mes voisins ne s’en sont pas encore plaints. Ainsi que cela arrive souvent, on a renoncé à tourner ce film : mais je n’en continue pas moins à jongler.
« Quant au « parlant »… je ne fais nulle différence entre autrefois et aujourd’hui ; au temps du « muet » aussi, nous parlions, en jouant, car je vous défie de jouer sans parler : seulement la pellicule n’enregistrait pas les paroles. A présent, j’ai un texte à apprendre par coeur : je ne vois pas pourquoi je devrais cesser d’être naturel….
« Oui, j’aime le cinéma : mais plutôt que le jeu, c’est la mise en scène qui m’attire maintenant. J’ai écrit des scénarios, beaucoup de scénarios : jadis même, Un ours, puis Le Chevalier de Gaby, que nous interprétâmes, Gaby Morlay et moi, sous la direction de M. Burguet. J’ai réalisé, récemment, La Torture par l’espérance, un petit film tiré de la nouvelle de Villiers de l’Isle-Adam. Et je voudrais bien recommencer, avec mes scénarios…. Mais le Modot-acteur empêche toujours le Modot-réalisateur de débuter pour de bon ! »
Les plus beaux rôles de Gaston Modot, au cours d’une carrière cinématographiques riche en pittoresques souvenirs et en « performances » de qualité, avaient été, jusqu’à ces derniers temps, celui du rude capitaine du Navire des hommes perdus, de Maurice Tourneur, et celui du sournois Peachum de L’Opéra de quat’sous, de G.-W. Pabst.
A ces deux rôles on pourra ajouter désormais celui du garde-chasse Schumacher de La Règle du Jeu, de Jean Renoir.
On a remarqué, en effet, la belle composition qu’a faite Gaston Modot dans ce film si séduisant ; de la distribution du film il est peut-être l’interprète dont le rôle a le plus de relief.
« Ces semaines en Sologne me raconte Gaston Modot sont l’un de mes plus agréables souvenirs. Vous connaissez assez mon admiration et mon amitié pour l’extraordinaire bonhomme qu’est Jean Renoir pour vous douter que j’éprouvais, à travailler une fois de plus sous sa direction, une joie de néophyte. En Sologne, à l’atmosphère de confiance et de camaraderie qui règne toujours parmi ceux qui travaillent avec Renoir, venait s’ajouter le climat pur et robustement rigoureux de l’un des plus beaux pays de France. Je n’étais pas qu’interprète : je dois à l’amitié de Jean Renoir de pouvoir collaborer plus intimement avec lui.
« C’est ainsi que — garde-chasse dans le film — j’étais préposé pour de bon à l’organisation des parties de chasse que Jean Renoir allait filmer. J’ai eu ainsi l’occasion de faire amitié avec de truculents gaillards du pays et d’apprendre, à côté d’eux, le sens de leur vie. Si le garde-chasse Schumacher de La Règle du Jeu tient son rôle d’une manière assez véridique, c’est que — pendant tout mon séjour là-bas — j’ai pu vivre pour de bon mon rôle. C’est à table que Gaston me fait ces confidences. Nous déjeunons ensemble, et l’excellent « vilain » qu’est Modot est un peu décontenancé parce qu’il n’a pas pu s’asseoir face au Nord, comme l’exigeraient, paraît-il, ses croyances astrologiques. Je le regarde manger avec ces gestes un peu lents et géométriques qu’ont popularisés tant de rôles, et je songe à la grande jeunesse de cet « ancien » du cinéma.
Voilà une bonne pièce de vingt-cinq ans que Gaston Modot fait du cinéma : ses premiers films sont de 1913, du temps où il jouait les cow-boys photogéniques en Camargue. C’était aussi le temps où il figurait brillamment dans les « Onésime », ces films comiques où, nanti de belles et longues moustaches, il récoltait des tartes à la crème, ainsi que le faisait, vers la même époque, le pas encore illustre Charlie Chaplin.
Mais, en ce temps-là, Gaston Modot s‘intéressait beaucoup moins au cinéma qu’à la peinture : à Montparnasse, qui était encore un quartier sérieux, il fréquentait les cubistes, et son ami Modigliani exerçait une légère influence sur sa manière de reconstituer l’aspect de ses modèles.
Passées ces années lointaines, venue l’heure du travail appliqué et méthodique, Gaston Modot a commencé sa belle carrière cinématographique, sans rien renier de ce qui avait enchanté sa prime jeunesse. Peintre, il le demeure, ainsi que le prouvent les tableaux de lui que nous présentaient certains Salons du Théâtre et du Cinéma, ou ce Portrait d’un noble vieillard que possède M. Francis Winter. Et, comme autrefois, il joue de la guitare, réussit des tours impressionnants au diabolo, vit en sportif, aime l’Espagne et ses musiques évocatrices, puis, pour la joie des amis, ressuscite d’extraordinaires chansonnettes de 1890, qu’il détaille avec un goût raffiné de la belle caricature.
Ceux qui, dans La Règle du Jeu, ont goûté les amusants refrains chantés au cours de la fête chez Dalio, apprendront avec intérêt que Modot a été le parrain de ces scènes.
Mais, depuis ces dernières années, et plus exactement depuis sa collaboration intime avec Jean Renoir, on a vu se développer un autre côté de l’activité de Gaston Modot. Le cinéma n’a jamais été pour lui qu’un gagne-pain. Scénariste, Modot avait notamment composé un petit scénario qu’il avait interprété avec Gaby Morlay. Metteur en scène, on a vu de lui un singulier petit ouvrage qui s’inspirait de La Torture par l’espérance, l’un des Contes cruels de Villiers de l’Isle-Adam.
Et demain ?
Je vais partir pour l’Italie, me dit Gaston Modot où Jean Renoir se dispose à tourner La Tosca. On a beaucoup épilogué au sujet de ce nouveau film. Mettez-vous bien dans la tête que ce diable d’homme n’en fait qu’à sa tête, et qu’il aime tenir les gageures les plus surprenantes. Il peut paraître absurde que Jean Renoir aille tourner La Tosca en Italie : c’est pourquoi il y va.
» Pour mon propre compte, je vais là-bas comme interprète, mais probablement aussi comme assistant. Et vous vous doutez bien que j’en suis ravi… »
N. F.
120 LONGS MÉTRAGES
1963 - ITINÉRAIRE MARIN .L'
1962 - DIABLE ET LES DIX COMMANDEMENTS .LE
1961 - MENTEURS .LES
1959 - TESTAMENT DU DOCTEUR CORDELIER .LE
1958 - AMANTS .LES
1957 - BELLE ET LE TZIGANE .LA
1956 - ELENA ET LES HOMMES
1956 - TRUANDS .LES
1955 - RENCONTRE À PARIS
1955 - FRENCH CANCAN
1955 - CELA S'APPELLE L'AURORE
1954 - PAPA, MAMAN, LA BONNE ET MOI...
1952 - MÔME VERT-DE-GRIS .LA
1951 - VICTOR
1951 - MONSIEUR OCTAVE
1951 - CE COQUIN D'ANATOLE
1951 - CASQUE D'OR
1949 - RENDEZ-VOUS DE JUILLET
1949 - POINT DU JOUR .LE
1949 - PARFUM DE LA DAME EN NOIR .LE
1949 - MYSTÈRE DE LA CHAMBRE JAUNE .LE
1949 - BELLE QUE VOILÀ .LA
1949 - BEAUTÉ DU DIABLE .LA
1948 - KVARTERETS OLYCKSFÅGEL
1948 - ÉCOLE BUISSONNIÈRE .L'
1948 - ARMOIRE VOLANTE .L'
1947 - SILENCE EST D'OR .LE
1947 - ÉTERNEL CONFLIT
1947 - CAVALIER DE CROIX-MORT .LE
1946 - DERNIER REFUGE
1946 - ANTOINE ET ANTOINETTE
1945 - LEÇON DE CONDUITE
1944 - BOSSU .LE
1943 - HOMME DE LONDRES .L'
1943 - ENFANTS DU PARADIS .LES
1942 - DERNIER ATOUT
1942 - BRIGAND GENTILHOMME .LE
1942 - À VOS ORDRES MADAME
1941 - PATROUILLE BLANCHE
1941 - NOUS LES GOSSES
1941 - MONTMARTRE-SUR-SEINE
1940 - IRRÉSISTIBLE REBELLE .L'
1939 - RÈGLE DU JEU .LA
1939 - FIN DU JOUR .LA
1938 - RÉCIF DE CORAIL .LE
1938 - MAISON DU MALTAIS .LA
1938 - JOUEUR D'ÉCHEC .LE
1938 - ENFANT DE TROUPE .L'
1938 - CEUX DE DEMAIN
1938 - ACCORD FINAL
1937 - TEMPS DES CERISES
1937 - MARSEILLAISE .LA
1937 - GRANDE ILLUSION .LA
1937 - CHEMIN DE RIO .LE
1936 - VIE EST À NOUS .LA
1936 - SALONIQUE NID D'ESPIONS
1936 - RÉPROUVÉS .LES
1936 - PÉPÉ LE MOKO
1935 - LUCRÈCE BORGIA
1935 - GAÎTÉS DE LA FINANCE .LES
1935 - CLOWN BUX .LE
1935 - BANDERA .LA
1934 - MYSTÈRE IMBERGER .LE
1934 - BILLET DE MILLE .LE
1934 - AUBERGE DU PETIT DRAGON .L'
1933 - QUELQU'UN A TUÉ
1933 - PLEIN AUX AS
1933 - MILLE ET DEUXIÈME NUIT .LA
1933 - CRAINQUEBILLE
1933 - COLOMBA
1932 - QUATORZE JUILLET
1932 - FANTÔMAS
1932 - COUP DE FEU À L’AUBE
1931 - SOUS LE CASQUE DE CUIR
1931 - OPÉRA DE QUAT'SOUS .L'
1931 - ENSORCELLEMENT DE SÉVILLE .L'
1931 - AUTOUR D'UNE ENQUÊTE
1930 - SOUS LES TOITS DE PARIS
1930 - MA FIANCÉE DE CHICAGO
1930 - ÂGE D'OR .L'
1929 - VILLE DES MILLE JOIES .LA
1929 - NAVIRE DES HOMMES PERDUS .LE
1929 - MERVEILLEUSE VIE DE JEANNE D'ARC, FILLE DE LORRAINE .LA
1929 - LIBERTÉ ENCHAÎNÉE
1929 - FANTÔME DU BONHEUR .LE
1928 - SHÉHÉRAZADE
1928 - MONTE CRISTO
1927 - SOUS LE CIEL D’ORIENT
1927 - MON COEUR AU RALENTI
1927 - CHAUFFEUR DE MADEMOISELLE .LE
1926 - CHÂTELAINE DU LIBAN .LA
1926 - CARMEN
1925 - VEILLE D’ARMES
1925 - NAPLES AU BAISER DE FEU
1925 - ÂME D'ARTISTE
1924 - PETIT HÔTEL À LOUER
1924 - MIRACLE DES LOUPS .LE
1924 - NÈNE
1923 - MENDIANTE DE SAINT-SULPICE .LA
1923 - COUSIN PONS .LE
1923 - AU-DELÀ DE LA MORT
1923 - À L’HORIZON DU SUD
1922 - SANG D’ALLAH .LE
1922 - MYSTÈRES DE PARIS .LES
1922 - MARIE, LA FEMME SINGE
1922 - BOUTIQUIÈRE DES INNOCENTS .LA
1921 - TERRE DU DIABLE .LA
1921 - MATHIAS SANDORF
1921 - FIÈVRE
1921 - ÉLUS DE LA MER .LES
1920 - MARIE LA GAIETÉ
1920 - CHEVALIER DE GABY .LE
1919 - SULTANE DE L'AMOUR .LA
1919 - OURS .UN
1919 - FÊTE ESPAGNOLE .LA
1918 - IMPERIA
1918 - ELLE !
1917 - ZONE DE LA MORT .LA
1916 - MATER DOLOROSA
1913 - MARQUITA .LA
235 COURTS MÉTRAGES:
1960 - CHÂTEAU DU PASSÉ .LE
1958 - PALAIS IDÉAL .LE
1937 - VIE D'UN HOMME .LA
1934 - TORTURE
1934 - TAXI DE MINUIT .LE
1934 - CRIME D’AMOUR
1934 - CHAÎNES .LES
1923 - AU SECOURS !
1922 - MARIE, CHEZ LES FAUVES
1921 - FIÈVRE
1918 - SERPENTIN ET SON MODÈLE
1918 - ÂME DE PIERRE .L'
1915 - POILUS DE LA NEUVIÈME .LES
1915 - PAN !... PAN !...
1915 - ONÉSIME ET LE BILLET DE MILLE
1915 - NUMÉRO 1313, SÉRIE 9
1915 - INUTILE PRÉCAUTION .L'
1915 - FIÈVRE
1915 - EXTRAORDINAIRE AVENTURE D’ONÉSIME .L'
1915 - ÉPAVE .L'
1915 - DANSEUSE VOILÉE .LA
1915 - CONTE CRUEL .UN
1914 - VOEUX D’ONÉSIME .LE
1914 - SYSTÈME DU DOCTEUR BITUME .LE
1914 - PIPE DE MASTER POUITTE .LA
1914 - ONÉSIME, SI T’ÉTAIS ROI
1914 - ONÉSIME MARCHAND DE MOUTONS
1914 - ONÉSIME FAIT DES ÉCONOMIES
1914 - ONÉSIME FAIT DES CRÊPES
1914 - ONÉSIME ET LES TITRES
1914 - ONÉSIME ET LE VOISIN GÊNANT
1914 - ONÉSIME ET LE POLICIER
1914 - ONÉSIME ET LE PÉLICAN
1914 - ONÉSIME ET LE DROMADAIRE
1914 - ONÉSIME ET LE DRAME DE FAMILLE
1914 - ONÉSIME ET LE CLUBMAN
1914 - ONÉSIME ET LA LETTRE ANONYME
1914 - ONÉSIME ET L’INFIRMIÈRE
1914 - ONÉSIME ASSASSINÉ
1914 - MONSIEUR PELCHE FAIT L’OUVERTURE
1914 - MARIAGE DU FROTTEUR .LE
1914 - JOCKEY EST EN RETARD .LE
1914 - GINETTE
1914 - ENFANT ET LE CHIEN .L'
1914 - ENFANT ET LA BOUTEILLE .L'
1914 - DOIGTS QUI ÉTRANGLENT .LES
1914 - DANS LA NUIT
1914 - CEUX DE LA TERRE
1912 - ZIGOTO PROMÈNE SES AMIS
1912 - ZIGOTO GARDIEN DE GRAND MAGASIN
1912 - ZIGOTO FAIT DU SKATING
1912 - ZIGOTO ET LE PETIT OISEAU DES ÎLES
1912 - ZIGOTO ET LE NARCOTIQUE
1912 - ZIGOTO ET LE CHÂTEAU MYSTÉRIEUX
1912 - ZIGOTO ET LA LOCOMOTIVE
1912 - ZIGOTO ET LA BLANCHISSEUSE
1912 - ZIGOTO ET L’ÉCUYÈRE
1912 - ZIGOTO EN PLEINE LUNE DE MIEL
1912 - ZIGOTO À LA FÊTE
1912 - ZIGOTO À DU COEUR
1912 - ZIGOTO À DU COEUR
1912 - TRISTE AVENTURE D’ONÉSIME .LA
1912 - TOILETTE DE MADEMOISELLE BADINOIS .LA
1912 - SOUS LA GRIFFE
1912 - REVOLVER MATRIMONIAL .LE
1912 - RAILWAY DE LA MORT .LE
1912 - PRÉDICTIONS POUR 1914
1912 - PLACIER DE DEMAIN .LE
1912 - PAPIERS DU MORT .LES
1912 - ONÉSIME, TU L’ÉPOUSERAS QUAND MÊME
1912 - ONÉSIME, L’AMOUR VOUS APPELLE
1912 - ONÉSIME, CALINO ET LA PANTHÈRE
1912 - ONÉSIME SUR LE SENTIER DE LA GUERRE
1912 - ONÉSIME SOURCIER
1912 - ONÉSIME SE MARI… CALINO AUSSI…
1912 - ONÉSIME SE BAT EN DUEL
1912 - ONÉSIME HORLOGER
1912 - ONÉSIME GENTLEMAN DÉTECTIVE
1912 - ONÉSIME GARDIEN DU FOYER
1912 - ONÉSIME GARÇON COSTUMIER
1912 - ONÉSIME ET SON COLLÈGUE
1912 - ONÉSIME ET SON ÂNE
1912 - ONÉSIME ET LES DIAMANTS DU RAJAH
1912 - ONÉSIME ET LE PHYSICIEN
1912 - ONÉSIME ET LE PAS DE L’OURS
1912 - ONÉSIME ET LE NOURRISON
1912 - ONÉSIME ET LE GARDIEN DU FOYER
1912 - ONÉSIME ET LE COEUR DE TZIGANE
1912 - ONÉSIME ET LE CHIEN BIENFAISANT
1912 - ONÉSIME ET LE BEAU VOYAGE DE NOCE
1912 - ONÉSIME ET LA SYMPHONIE INACHEVÉE
1912 - ONÉSIME ET LA MAISON HANTÉE
1912 - ONÉSIME ET LA GRÈVE DES MINEURS
1912 - ONÉSIME ET L’OEUVRE D’ART
1912 - ONÉSIME ET L’HÉRITAGE DE CALINO
1912 - ONÉSIME ET L’ÉTUDIANTE
1912 - ONÉSIME ET L’ENFANT PERDU
1912 - ONÉSIME ET L’ÉLÉPHANT DÉTECTIVE
1912 - ONÉSIME ET L’AFFAIRE DU TOQUARD PALACE
1912 - ONÉSIME ET KIKI
1912 - ONÉSIME EST TROP TIMIDE
1912 - ONÉSIME EST MYOPE
1912 - ONÉSIME EN PROMENADE
1912 - ONÉSIME EN BONNE FORTUNE
1912 - ONÉSIME EMPLOYÉ DES POSTES
1912 - ONÉSIME ÉCRIT UN ROMAN D’AMOUR
1912 - ONÉSIME DRESSEUR D’HOMMES ET DE CHEVAUX
1912 - ONÉSIME DOUANIER
1912 - ONÉSIME DÉBUTE AU THÉÂTRE
1912 - ONÉSIME CORRESPONDANT DE GUERRE
1912 - ONÉSIME CONTRE ONÉSIME
1912 - ONÉSIME CONTRE MARTIGUES
1912 - ONÉSIME CHAMPION DE BOXE
1912 - ONÉSIME AUX ENFERS
1912 - ONÉSIME AIME TROP SA BELLE-MÈRE
1912 - ONÉSIME AIME LES BÊTES
1912 - ONÉSIME A UN DUEL À L'AMÉRICAIN
1912 - NOËL D’ONÉSIME .LE
1912 - MORT DU MILLIARDAIRE .LA
1912 - MAL D’ONÉSIME .LE
1912 - MAISON DES LIONS .LA
1912 - MAIN DE FER CONTRE LA BANDE AUX GANTS BLANCS .LA
1912 - LÉONCE CINÉMATOGRAPHISTE
1912 - JUGEMENT DU FAUVE .LE
1912 - IDYLLE D’ONÉSIME .L'
1912 - FIANCÉE DU TORÉADOR .LA
1912 - FAUSSE INFORMATION .LA
1912 - DISPARITION D’ONÉSIME .LA
1912 - DANS LA BROUSSE
1912 - COURSE À L’AMOUR .LA
1912 - COLLIER VIVANT .LE
1912 - COEUR ARDENT
1912 - CHEVAL VERTUEUX .LE
1912 - CHAUFFEUR PAR AMOUR
1912 - CALOMNIE PUNIE .LA
1912 - CALINO VEUT SE FAIRE RENVOYER
1912 - CALINO SOURCIER
1912 - CALINO SOUFFLEUR
1912 - CALINO PREND LE TRAIN DE PLAISIR
1912 - CALINO PÈRE NOURRICIER
1912 - CALINO GARDIEN DE PRISON
1912 - CALINO ET SON NOUVEAU CHIEN
1912 - CALINO ET SON ÂNE
1912 - CALINO ET LES DEUX CANDIDATS
1912 - CALINO ET LES BRIGANDS
1912 - CALINO ET LE PETIT RESTAURANT TRÈS BIEN
1912 - CALINO ET LA VOYANTE
1912 - CALINO ÉPOUSE UNE FÉMINISTE
1912 - CALINO DOMPTEUR PAR AMOUR
1912 - CALINO COURTIER EN PARATONNERRES
1912 - CALINO CHEF DE GARE
1912 - CADEAU D’ONÉSIME .LE
1912 - BIENFAIT N’EST JAMAIS PERDU .UN
1912 - AVENTURE DE MR. SMITH .L'
1911 - ZIGOTO ROMAN D’AVENTURES POLICIÈRES
1911 - ZIGOTO POLICIER TROUVE UNE CORDE
1911 - ZIGOTO PLOMBIER D’OCCASION
1911 - ZIGOTO ET L’AFFAIRE DU COLLIER
1911 - ZIGOTO ET L’AFFAIRE DE LA PATTE DE BRETTELLES ET DU BOUTON DE CULOTTE
1911 - VOYAGE DE L’ONCLE JULES .LE
1911 - VOISINS GÊNANTS
1911 - VERS L’IMMORTALITÉ
1911 - VA PROMENER AZOR
1911 - TRUC D’ANATOLE .LE
1911 - TROUVAILLE DE ZIGOTO .LA
1911 - TRIOMPHE DU LUTTEUR .LE
1911 - TÉLÉMÉCANIQUE .LA
1911 - SUICIDÉ MALGRÉ LUI
1911 - SITUATION DÉLICATE D’UN CAMBRIOLEUR
1911 - RÔLE D’UN OEUF .LE
1911 - REMBRANDT DE LA RUE LEPIC .LE
1911 - QUI PERD GAGNE
1911 - PRAIRIE EN FEU .LA
1911 - POMMADE ASPIRANTE .LA
1911 - PENDAISON À JEFFERSON CITY
1911 - OPÉRATEUR TENACE .L'
1911 - NOSTALGIE DE LA PURÉE .LA
1911 - NON ! TU NE SORTIRAS PAS SANS MOI
1911 - MONSIEUR QUI A LA TÊTE LOURDE .UN
1911 - MIGNONNE
1911 - MARIAGE DE MISS MAUD .LE
1911 - MARIAGE DE L’APOTHICAIRE .LE
1911 - MAILLOT À POINTES D’ACIER .LE
1911 - MA TANTE FAIT DE LA PEINTURE
1911 - LETTRE CHARGÉE .LA
1911 - INOUBLIABLE BERCEUSE .L'
1911 - FRÈRE DE LAIT .LE
1911 - FAUVES ET BANDITS
1911 - FAUST ET MARGUERITE
1911 - EN CAMARGUE
1911 - DERNIER MOT .LE
1911 - CYPRIEN EST NEURASTHÉNIQUE
1911 - CURE D’ANATOLE .LA
1911 - CONQUÊTE DE DON JUAN .LA
1911 - CHEVEUX DE L’AÎNÉE .LES
1911 - CHEMINEAU RINKEUR .LE
1911 - CENT DOLLARS MORT OU VIF
1911 - CARMEN
1911 - CALINO VEUT ÊTRE COW-BOY
1911 - CALINO POLYGAME
1911 - CALINO MEMBRE DU JURY
1911 - CALINO MÉDECIN PAR AMOUR
1911 - CALINO INSPECTEUR DU TRAVAIL
1911 - CALINO GUIDE-INTERPRÈTE
1911 - CALINO FAIT L’OMELETTE
1911 - CALINO ET LES PENSIONNAIRES
1911 - CALINO DEVIENT ENRAGÉ
1911 - CALINO COCHER
1911 - CALINO CHASSE À COURRE
1911 - CALINO ARCHITECTE
1911 - BÉBÉ PRATIQUE DE JIU-JITSU
1911 - AVENTURES DE TROIS PEAUX-ROUGES À PARIS .LES
1911 - AMOUREUX DE LA CAISSIÈRE .LES
1910 - RECONNAISSANCE D’INDIEN
1910 - PARI DE LORD ROBERT .LE
1910 - MAIN COUPÉE .LA
1910 - JIM CROW
1910 - HOMME QUI RESSEMBLE AU PRÉSIDENT .L'
1910 - FER À CHEVAL .LE
1910 - DRAME DANS UNE LOCOMOTIVE .UN
1910 - DIAMANT VOLÉ .LE
1910 - DANS LES AIRS
1910 - CHASSEURS DE FOURRURES .LES
1910 - CAPTURE GÊNANTE
1910 - CALINO S’ENDURCIT LA FIGURE
1910 - CALINO ACHÈTE UN CHIEN DE GARDE
1910 - BORNÉO BILL
1910 - BAPTÊME DE CALINO .LE
1910 - AVENTURES D’UN COW-BOY À PARIS .LES
1910 - ATTAQUE DU TRAIN .L'
1910 - AMOUR DU RANCH .L'
1910 - AMITIÉ DE COW-BOY
1910 - À TRAVERS LA PLAINE
1909 - SUR LE SENTIER DE LA GUERRE
1909 - PAPAS DE FRANCINE .LES
1909 - ENFANT DU CHERCHEUR D’OR .L'
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