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Profession:
Humoriste, acteur, réalisateur, scénariste et producteur français.
Date et lieu de naissance:
20-07-1921, à Paris, France.
Date et lieu du décès:
06-07-1974, à Paris, France.
Cause du décès:
D'une crise cardiaque à l'âge de 53 ans.
Nom de naissance:
Francis Jean Blanche.
État civil:
?
Taille:
?
Francis Blanche débute en 1936 dans un petit cabaret de Montmartre où il récite des poèmes et des chansons de sa composition.
Il est le parolier de 673 chansons, dont certaines (comme Si le roi savait ça, Isabelle, interprétée par Edith Piaf) sont devenues des classiques.
Il créa avec Pierre Dac le célèbre sketch du Sar Rabindranath Duval ainsi que la série radiophonique intitulée Signé Furax (1043 épisodes !).
Francis Blanche aimait faire remarquer qu'il était le seul artiste à disposer à Paris à la fois d'une rue et une place, toutes les deux à son nom, et en plus de son vivant !
Sur la tombe de Francis Blanche, à Eze, on peut lire: «Laissez-moi dormir, j’étais fait pour ça.»
Si vous ne vous sentez pas bien, faites-vous sentir par quelqu'un d'autre.
Je me suis marié deux fois : deux catastrophes. Ma première femme est partie, la deuxième est restée.
Si Christophe Colomb n'avait rien découvert, Kennedy serait toujours vivant.
Ne faites pas à autrui ce que vous pouvez faire le jour même.
C'est en sciant que Léonard devint scie.
Je n'aimerais guère vivre dans la Lune. Ca m'embêterait, de changer de quartier, tous les neuf jours.
Je suis très fort, en affaires. Le malheur, c'est que les autres le sont encore plus que moi.
Le souvenir, ce n’est qu’un regret apaisé.
Faut-il toujours un cadavre pour que vienne un nouveau-né ?
Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu hais.
Je suis attaché à l'argent. Mais l'argent n'est pas très attaché à moi.
Mise à jour le 11 octobre 2008 par Philippe de CinéMémorial.
Adolescent, il n’envisageait pas d’autre métier que celui de son père: comédien. Alors il est monté sur les planches, a écrit plus de 600 chansons, a fait hurler de rire la France à la radio. Sa vie aurait pu être un enfer: il en a fait un sketch.
L’excentricité, c’est comme la fortune: on les trouve plus morales lorsqu’elles ont une cause. Francis Blanche, qui durant toute sa courte vie accumula les extravagances, avait une vraie raison de ne pas mener l’existence de tout le monde. Une raison citoyenne: il entretenait quatre foyers et autant d’enfants, sur lesquels il veillait avec une attention sourcilleuse, apportant les ressources, surveillant les carnets de notes. Bon père, époux aimant, il aurait été quatre fois un authentique mari modèle n’était un vilain défaut: ses maîtresses.
Agatha Christie, anglaise donc spécialiste dans le genre, explique l’excentricité par la certitude d’être dans le vrai: «C’est un comportement de vagabond ou de prince. Nul ne peut critiquer ma façon d’être, car nul n’est aussi sage que moi, même si l’existence m’oblige à certaines concessions.» Ainsi, la tante d’Orson Welles se baigna toute sa vie dans le ginger ale parce qu’elle trouvait le champagne trop coûteux. Chez Francis Blanche aussi, l’extravagance fut le fruit de nécessités financières, tempérées par un génie reconnu. Né en juillet 1921, il décrocha le bac avec mention quinze ans plus tard, après avoir été exclu du lycée Michelet à quelques mois de l’examen pour avoir trop fait rire ses camarades (parmi eux, le jeune Maurice Druon, qui n’avait pas le zygomatique facile). Réussissant à se faufiler au lycée Charlemagne juste à temps pour passer l’écrit, il fascine ses professeurs qui, après un oral brillantissime, l’assaillent, voulant faire de lui un juriste, un médecin, un mathématicien. A quoi il répondit, noblement: «Mon père est comédien, ma belle-mère, fille de compositeurs. Chez moi, le spectacle n’est pas une vocation, mais une charge héréditaire. Je m’y plierai.»
De fait, son père, Louis Blanche, fit une petite carrière sur les planches, jouant même dans quelques films muets de Max Linder. Sa seconde épouse descend de Pierre Joseph Alphonse Varney, auteur du «Chant des Girondins», et de Louis Varney, à qui on doit entre autres «les Mousquetaires au couvent». Cette lignée ne se révèle guère utile et Francis doit se battre pour décrocher, en 1938, un engagement au cabaret Le Rendez-vous. Tous les soirs, il y récite des fables de son cru: «Il y a eu les fables de La Fontaine. Les miennes sont plutôt celles du robinet», dit-il. Exemple: «L’enfant, pour complaire à sa mère, patiemment sur son pot s’efforçait. Moralité: le petit poussait.» L’auteur a 17 ans. C’est le plus jeune chansonnier de France. Ses passions: Charles Trenet, la radio. Ses lectures: «l’Os à moelle», dirigé par Pierre Dac. L’époque est à la farce, l’actualité terrifiante. On ne pense qu’à y échapper par le rire. Les hostilités éclatent le 1er septembre 1939. Blanche est mobilisé puis, oublié par la débâcle du côté de Tarbes, devient durant trois mois journaliste au «Semeur des Hautes-Pyrénées».
De retour à Paris, il reprend les tournées nocturnes et fait la connaissance de Trenet. Sans trop le savoir, le surdoué possède le génie de mettre des paroles sur des musiques. Lors d’une tournée à Bruxelles, Blanche et Trenet montent à bord du tramway de ceinture. L’un lit sur une boutique: «Débit de lait.» «Débit de l’eau», répond l’autre. Le premier réagit, le second réplique. Un tour complet de la ville plus tard, l’illustre chanson est née, signée à jamais Charles Trenet et Francis Blanche, sans que nul, com-me dans les vraies réalisations collectives, ne puis-se déterminer la part qui revient à chacun. Les esprits cartésiens remarqueront qu’il y a, dans cette création urbaine et ferroviaire marquée par la figure du cercle, plus de concentricité que d’excentricités. Pas d’inquiétude, elles vont venir.
Francis, après diverses amours dont la fugacité augmente le caractère luxueux, a rencontré la vraie – et la première – femme de sa vie. C’est une comédienne. Elle s’appelle Edith. En vrai philosophe, il sait à quel point l’amour dilue parfois l’amitié. Il ordonne à Claude, son camarade le plus intime, de se marier avec la sœur d’Edith afin qu’il reste dans son entourage. Huit ans plus tard, il divorce d’Edith pour épouser Evelyne, dont il vient de faire la connaissance. Il exige de Claude qu’il divorce également et convole avec la sœur d’Evelyne pour demeurer ainsi son beau-frère. On se doute qu’avec un tel sens de la fidélité les besoins financiers soient considérables. Dès lors Francis Blanche va se tuer au travail à force de courir après l’argent. Comme Balzac, dont on ne saura jamais si Dieu l’avait fait prodigue pour qu’il dût créer une œuvre ou si Dieu lui permit de créer une œuvre pour qu’il survive à sa prodigalité. Dans le cas de Blanche, l’œuvre s’envole en notes. Il va écrire, en trente ans, 600 chansons, la plupart jetées par poignées sur des coins de comptoir. Il écrit des paroles sur «Minor Swing» de Django Reinhardt, fait chanter à toute la France «Ploum, ploum, tralala», dont on croit qu’elle appartient depuis des siècles au domaine public, de même d’ailleurs que ce distique soigneusement pensé: «Il vaut mieux être riche et bien portant que pauvre et malade.»
Edith Piaf, rencontrée un matin, lui ayant fixé un rendez-vous pour l’après-midi même, il téléphone à son ami le pianiste Grégoire Kretli, qui deviendra le compositeur Gérard Calvi. Ensemble, ils griffonneront en une heure «le Prisonnier de la tour», dont toutes les demoiselles chanteront le refrain en imaginant qu’il date du Moyen Age: «Si le roi savait ça, Isabelle / Isabelle, si le roi savait ça…» Mais l’auteur sait que la poésie s’enfuit quand on l’appelle et qu’il convient de cultiver le prosaïsme de la vie. Son opportunisme déconcerte. Au cours d’une tournée en Normandie, il invente un concours de lancer de camemberts. On doit les expédier en hauteur. Celui des participants dont le fromage reste le plus longtemps collé au plafond a gagné… Sa victoire assurée, il écrit, influencé par le contexte rural, «le Général à vendre», qui demeure le chef-d’œuvre de l’insolite mis en musique: «De bon matin je me suis levé. C’était dimanche / A la carriole j’ai attelé la jument blanche / Pour m’en aller au marché dans le chef-lieu du comté / Paraît qu’y avait des généraux à vendre / Mais le soleil écrasait tant la route blanche / La jument s’arrêtait si souvent sous les branches / Que lorsque je fus rendu on ne m’avait pas attendu / Et tous les généraux étaient vendus / Pourtant là-bas tout au bout du champ de foire / Par un coup de chance il en restait encore un / Il n’était pas couvert de gloire mais avec un peu de Ripolin / Il pouvait faire encore très bien.» Les Frères Jacques, influencés par le surréalisme, s’emparent de la chanson, et chanteront aussi «la Truite», sur des paroles loufoques, d’après Schubert. Tout cela ne fait pas bouillir la, ou plutôt les marmites, et Blanche écrit encore les versions françaises de «Besame mucho», de «Plaine, ma plaine». Emporté par son élan, il va jusqu’à mettre en musique la loi sur la répression de l’ivresse publique telle qu’elle est affichée dans les débits de boissons. Il passe un temps considérable dans ces établissements, rejoint depuis quelques mois par Pierre Dac, son modèle. Leur relation avait pourtant commencé sous des auspices orageux: toujours à l’affût de subsides, Blanche anime tous les dimanches une émission de radio, inspirée des Branquignols, dans laquelle il recycle un certain nombre de plaisanteries qui lui occupent la tête depuis l’enfance et dont il ne sait plus très bien d’où elles viennent. Or Dac, qui en parsemait jadis son «Os à moelle», s’en tient pour l’inventeur. Le choc était inévitable entre deux générations: deux cultures et un seul délire.
Petit-fils d’artisan juif d’Alsace-Lorraine, Dac, élevé à Paris en yiddish, est aussi méticuleux que Blanche est dispersé. De son père, boucher, il a appris le louchebem, cet ancêtre du verlan qui permet d’inventer de nouveaux mots en transformant ceux du dictionnaire à l’aide d’une grammaire aussi rigoureuse qu’extravagante. C’est ainsi qu’ayant créé le mot «loufoque», Dac s’avise qu’il a inventé l’humour qui va avec. L’affrontement Dac-Blanche a lieu à la fin des années 1940 dans les coulisses d’un théâtre. Il se transforme en coup de foudre! Dac a besoin d’un fils. Blanche a besoin d’un père. Dès lors, ils ne se quitteront plus guère, le travail commun ne leur en laissant d’ailleurs pas le loisir. «Je suis très matinal. Je me couche tous les jours à 4 heures du matin», déclare Blanche. C’est qu’au fil des années d’autres compagnes ont rejoint les premières épouses. Arlette, puis Maryse. Chef de famille impartial, l’auteur-acteur-compositeur offre visons et appartements par quatre. Ce qui exige de gros moyens. Jacques Pessis, auteur d’une biographie de Pierre Dac et un des hommes qui connaissent le mieux le cas Blanche, s’émerveille encore de cette capacité de travail. «Il est mort à 53 ans d’un diabète qu’il refusait de soigner. Une vie courte, mais qui en réalité a duré le double car il ne dormait que trois heures par nuit. Les feuilletons de radio qu’il écrivait avec Dac, dont "Signé Furax", étaient rédigés dans les minutes qui précédaient leur diffusion. Ses fameux canulars téléphoniques pouvaient être le fruit d’un véritable affolement. Rien n’était préparé. Il arrivait dans le studio, posait un doigt au hasard sur l’annuaire. L’identité de la personne qui répondait lui inspirait sur le moment même son extravagance. Tombé un jour aux Editions Gallimard, il explique à la standardiste stupéfaite qu’il attend sans illusions des nouvelles du roman qu’il leur a expédié quinze jours plus tôt, car il connaît les procédés de la maison, qui consistent à publier les manuscrits sous des signatures illustres en changeant le nom des vrais auteurs. Exigeant de parler à un directeur, il déclare à cet homme dépassé: "Mon roman raconte l’histoire d’un chef d’îlot qui trompe sa femme. Je vais étudier de près toute votre production et, si jamais j’y trouve l’histoire d’un homme qui trompe sa femme, je vous attaque!" »
La fuite en avant peut être une source d’inspiration qui frôle le génie. Ayant décroché une émission comique en direct sur Télé-Monte-Carlo, il arrive un soir devant les caméras sans la moindre idée et, sous le coup d’une impulsion, enlève ses habits. Il apparaît, son gros ventre dans un caleçon fleuri, et déclare: «C’est un monsieur qui a perdu son savon mouillé dans sa douche et qui essaie de le rattraper.» Tout le reste était muet. Dix minutes plus tard, les spectateurs appelaient pour faire cesser le sketch: ils n’avaient jamais autant ri. L’épée du temps qui passe perpétuellement dans les reins amène d’étranges trouvailles. Sur la scène d’un théâtre où il jouait un soir avec Pierre Dac, il apparaît maquillé d’un seul côté et improvise des jeux de scène assez habiles pour dissimuler la chose. Le lendemain, les deux compères en font un sketch, lequel leur donne bientôt l’idée de dessiner des yeux ouverts sur leurs paupières fermées puis d’entrer ainsi sur scène à l’aveugle, rendant leurs partenaires à peu près fous. «Une pièce de théâtre ne se monte pas comme une escroquerie ordinaire», déclare à cette époque Francis Blanche, sans cesse contraint à des acrobaties. C’est le temps où Europe n° 1 lui confie l’animation des émissions matinales. Les publicités étaient alors lues en direct, et leurs textes, parfois saugrenus, inspiraient au plus grand bouffon de l’après-guerre les plaisanteries qu’on devine. «On m’avait engagé pour le freiner un peu, raconte Robert Willar, qui fut longtemps animateur à ses côtés. Bien entendu, j’étais plutôt le pousse-au-crime. Comment faire autrement lorsque je devais lire les phrases suivantes: "Madame, essayez l’éponge Spontex. Vous la prenez dans la main... Elle gonfle sous vos doigts... Elle triple de volume..."» La décence nous interdit de rapporter les commentaires de Blanche, lesquels entraînèrent des protestations de l’annonceur. Envoyé précipitamment en vacances, Blanche expédia au directeur de la station une carte postale représentant la Vénus de Milo enrichie de cet avertissement: «Voilà ce qui vous arrivera si vous continuez à vous ronger les ongles.»
Courant partout, le forcené avait fait de ses voitures des instruments de défoulement. Au volant d’une puissante limousine américaine dont il avait fait modifier le réservoir, il faisait semblant de tomber en panne sèche à 15 mètres d’une station-service, demandait un arrosoir, faisait lui-même le plein d’eau, et repartait en trombe. Habitant à Eze, près de Monaco, il dégringolait les épingles à cheveux de la Grande Corniche le corps à moitié sorti par la portière, les bras au ciel – un complice tenait le volant accroupi sur le plancher -, et hurlait: «Garez-vous! Je ne sais pas conduire!» Ayant un jour atterri violemment dans la terrasse d’un café alors que Jean Carmet l’accompagnait, ils se précipitèrent au comptoir pour demander deux steaks saignants. «Les environs de Nice étaient son fief, raconte Georges Lautner, dont il était un des plus fidèles interprètes. Un matin, arrivant en retard sur un tournage, je le vis sortir de sa voiture avec un gros réveille-matin, et l’écraser par terre en criant: "Ça t’apprendra, salaud, à ne pas me réveiller à l’heure!"» La fête eut une fin. Un jour de juillet 1974, il y a trente ans presque jour pour jour, Claude Villers, l’animateur de France-Inter qui a écrit le beau «Tonton flingué» sur l’existence magnifique et douloureuse de son ami, le vit saisir une des plus belles pièces de sa collection de pipes et la briser délicatement entre ses doigts: «Qu’est-ce que tu fais? - Tu le vois... Je casse ma pipe.» Quelques jours plus tard, il mourut. Pierre Dac en fit autant six mois après. Sur la tombe de Blanche, à Eze, on peut lire: «Laissez-moi dormir, j’étais fait pour ça.»
117 LONGS MÉTRAGES DÉTAILLÉS
1981 - SIGNÉ FURAX
1974 - BALEINE QUI AVAIT MAL AUX DENTS .UNE
1974 - LINCEUL N'A PAS DE POCHES .UN
1974 - DITES-LE AVEC DES FLEURS
1973 - FRANCE SOCIÉTÉ ANONYME
1973 - DERNIÈRE BOURRÉE À PARIS .LA
1973 - O.K. PATRON
1973 - PAR LE SANG DES AUTRES
1973 - HISTOIRE TRÈS BONNE ET TRÈS JOYEUSE DE COLINOT TROUSSE-CHEMISE .L'
1973 - SOLITAIRE .LE
1973 - GRANDE BOUFFE .LA
1972 - TERREUR QUI LOUCHE .LA
1972 - QUAND C'EST PARTI ! C'EST PARTI
1972 - I RACCONTI ROMANI DI PIETRO L'ARETINO
1971 - ODEUR DES FAUVES .L'
1971 - GROSSE COMBINE .LA
1971 - GRANDE MAFFIA .LA
1970 - OBSÉDÉ MALGRÉ LUI
1970 - ÊTES-VOUS FIANCÉE À UN MARIN GREC OU À UN PILOTE DE LIGNE ?
1970 - JAMBES EN L'AIR .LES
1970 - GRANDE JAVA .LA
1969 - JE, TU, ELLES
1969 - ÉTALON .L'
1969 - CES MESSIEURS DE LA GÂCHETTE
1969 - BOURGEOIS GENTIL MEC .LE
1969 - AUX FRAIS DE LA PRINCESSE
1969 - POUSSEZ PAS GRAND-PÈRE DANS LES CACTUS
1969 - QU'EST CE QUI FAIT COURIR LES CROCODILES ?
1969 - MERVEILLEUX PARFUM D'OSEILLE .UN
1968 - SALUT BERTHE !
1968 - GROS MALINS .LES
1968 - GRANDE LESSIVE ! .LA
1968 - EROTISSIMO
1968 - FAITES DONC PLAISIR AUX AMIS
1967 - GRAND BIDULE .LE
1967 - GROSSE PAGAILLE .LA
1967 - CES MESSIEURS DE LA FAMILLE
1967 - CANARD EN FER BLANC .LE
1966 - COMPAGNONS DE LA MARGUERITE .LES
1966 - DU MOU DANS LA GÂCHETTE
1966 - BELLE DE JOUR
1966 - PLUS VIEUX MÉTIER DU MONDE .LE
1966 - GRANDE SAUTERELLE .LA
1965 - ENQUIQUINEURS .LES
1965 - PAS DE CAVIAR POUR TANTE OLGA
1965 - MALABARS SONT AU PARFUM .LES
1965 - TÊTE DU CLIENT .LA
1965 - SENTINELLE ENDORMIE .LA
1965 - GALIA
1965 - BARATINEURS .LES
1964 - CITÉ DE L'INDICIBLE PEUR .LA
1964 - REQUIEM POUR UN CAÏD
1964 - BONNE OCCASE .LA
1964 - BARBOUZES .LES
1964 - GORILLES .LES
1964 - REPAS DES FAUVES .LE
1964 - GROS BRAS .LES
1964 - JALOUX COMME UN TIGRE
1964 - CHANCE ET L'AMOUR .LA
1964 - CHASSE À L'HOMME .LA
1964 - PIEDS NICKELÉS .LES
1964 - PLUS BELLES ESCROQUERIES DU MONDE .LES
1963 - DES PISSENLITS PAR LA RACINE
1963 - TONTONS FLINGUEURS .LES
1963 - DRAGÉES AU POIVRE
1963 - DRÔLE DE PAROISSIEN .UN
1963 - TULIPE NOIRE .LA
1963 - ABOMINABLE HOMME DES DOUANES .L'
1962 - BRICOLEURS .LES
1962 - VEINARDS .LES
1962 - VIERGES .LES
1962 - TARTARIN DE TARASCON
1962 - CLÉMENTINE CHÉRIE
1962 - SNOBS !
1962 - PETITS MATINS .LES
1961 - VENDETTA .LA
1961 - SEPTIÈME JURÉ .LE
1961 - ACCROCHE-TOI, Y'A DU VENT
1961 - DÉFENSE D'Y TOUCHER
1961 - EN PLEINE BAGARRE
1961 - ENLÈVEMENT DES SABINES .L'
1961 - PLANQUE .LA
1961 - MENTEURS .LES
1961 - EN PLEIN CIRAGE
1961 - LIVREURS .LES
1960 - OLIMPIADI DEI MARITI .LE
1960 - PILULES D'HERCULE .LES
1960 - COUPLE .UN
1960 - OURS .L'
1960 - FRANÇAISE ET L'AMOUR .LA
1960 - VIVE HENRI IV, VIVE L'AMOUR
1960 - PIQUE-ASSIETTE .LES
1960 - PETITES FEMMES ET HAUTE FINANCE
1959 - CHAT MIAULERA TROIS FOIS .LE
1959 - CERTAINS L'AIMENT FROIDE
1959 - VIVE LE DUC !
1959 - MATCH CONTRE LA MORT
1959 - JUMENT VERTE .LA
1959 - BABETTE S'EN VA-T-EN GUERRE
1958 - PETIT PROF .LE
1958 - POURQUOI VIENS-TU SI TARD
1958 - INCREVABLE .L'
1958 - MOTARDS .LES
1958 - PARISIEN MALGRÉ LUI
1958 - TRAIN DE 8H47 .LE
1958 - À PIED, À CHEVAL ET EN SPOUTNIK
1957 - TOUS PEUVENT ME TUER
1956 - POLKA DES MENOTTES .LA
1956 - VIE EST BELLE .LA
1956 - HONORÉ DE MARSEILLE
1954 - AH ! LES BELLES BACCHANTES
1953 - FAITES-MOI CONFIANCE
1951 - MINUIT, QUAI DE BERCY
1950 - ILS ONT VINGT ANS
1950 - FILLE À CROQUER .UNE
1949 - TIRE AU FLANC
1948 - ASSASSIN EST À L'ÉCOUTE .L'
1942 - FRÉDÉRICA
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18-11-2021 00:01:43